Bien avant le métro de Laval et le stade olympique un projet d’envergure ayant connu des coût de construction faramineux vit le jour à Montréal il y a prêt de 50 ans.
Durant la construction en 1962
Le projet de la Place des Arts aura coûté en 1963 près de 25 millions, alors qu’au départ il avait été estimé à 12 millions. Ce montant est minime aujourd’hui mais à l’époque, il était énorme. Une des principales raison de la hausse des coût fut le 4,5 millions déboursé en frais d’expropriation. Entre 1959 et 1966, la Place des Arts fit l’acquisition de 32 propriétés dites avec «numéro civiques» et de 3 édifice d’importance soit : l’édifice Kellert, l’école de la commission des Écoles catholiques et l’institut Nazareth.
La carte ci-contre représente le quadrilatère formé par les rues Sainte-Catherine, Ontario, Jeanne-Mance et St-Urbain en 1960 avant les travaux de démolition.
Celui-ci était situé au coin des rues Sainte-Catherine et St-Urbain. Cet immeuble de 7 étages coiffé d’un château d’eau et qui fut construit au début du 20e siècle était autrefois, un des plus grand magasin du Canada, spécialisé dans la confection de vêtements pour hommes, femmes et enfants.
L’école de la commission des Écoles catholiques
Construite en 1871 au coin des rues Ontario et St-Urbain, on y accédait alors depuis la rue Sainte-Catherine par une longue allée bordée d’arbres.
Vu de la rue Ontario vers 1875 et en 2007
Vu de la rue Sainte-Catherine en 1910 et en 2007
L’Institut Nazareth
Ayant autrefois été un institut pour les aveugles, celui-ci se dressait au coin des rues Sainte-Catherine et Jeanne-Mance. La chapelle de cet édifice était ornée de fresques pieuses du peintre Napoléon Bourassa, le père d’Henri Bourassa. Après diverses tentatives infructueuses pour tenter de les préserver, elles furent toutefois photographiées avant de tomber sous le pic des démolisseurs.
Bien que la démolition de ces bâtiments provoqua dans les années 1960 la colère de la population, peu de gens savent aujourd’hui que le terrain en pente de la Place des Arts maintenant recouvert de béton, était autrefois un vaste espace vert bordé d’arbres centenaires.
23 comments
Voir mon commentaire en anglais cette fois a la date du 17 decembre 2007 sur nos venerables vieilles pierres ……j aimerais votre avis
merci
Désolé, je n’arrive pas à le trouver !
Je disais que lorsque l on a agrandi le palais des congres on devait incorporer a la facade sur saint antoine les pierres de la facade du terminus craig (elles ont toutes ete conservees)…..on ne l a jamais fait.
De meme lorsque l on a detruit l hotel queen sur peel au sud de la gare windsor on a conserve certains elements architecturaux qui devaient etre incorpores dans un developpement futur….rien n a encore ete fait de ces pierres depuis = ou- 15 ans.
Ne pourrions nous pas faire comme cela s est fait et se fait encore dans des endroits ou l on respecte les vieilles pierres les mettre en valeur dans un grand parc urbainpourquoi pas une place dans l ile sainte helene. Nous pourrions y conserver egalement d autres elements que nous ne pouvons garder sur place
On demolit des eglises et d autres edifices patrimoniaux ne pouvons pas faire plus quand c est absolument obligatoire de n en garder que quelques photos.
Nous pourrions de la meme facon quelque part faire la meme chose avec des elements de decoration interieure.
J’ai lu dans un livre de Guy Pinard (si je me trompe pas de livre) que les pierre du terminus Craig avais mystérieusement disparu peu après le démentellenent du terminus Craig et c’est pour cette raison que la facade ne ces pas retrouvé sur une des facades du palais des congres. Je sait qu’ils on conservé aussi les pierres de facades des ancien bureau de la Vicker sur la rue Notre-Dame dans l’est mais va savoir ou ils sont rendu eux aussi. Et pour l’hotel queen….Quelle désastre avec ou sans les pierres….Garou
Il est vrai qu’a une certaine epoque on a dit que certaines des pierres du terminus,( qui avaient ete laissees en bordure de l’autoroute sur Viger)avaient disparues (volees je crois)
Cependant lorsque l’on planifiait l’agrandissement du palais des congres il etait bien mentionne que toutes les pierres avaient ete retrouvees et qu’elles seraient incorporees dans la nouvelle facade plus ou moins a l’endroit qu’elles occupaient autrefois. Je vais voir si je peux trouver autre choses sur le sujet et si oui je vous reviens Garouleloup. Merci pour votre reponse je suis content de me rendre compte qu’il y a encore des personnes que ces vieilles pierres interessent.
Je suis content de revoir cette photo de 1955 de l’ancien site qui était à cette epoque institut Dominique savio.Le cardinal Léger avait levé une campagne de pour recueillir des fonds pour construire un edifice adéquat car cette edifice etait devenu insalubre et lew risques d’incendie etaient élevés. Il y avait aussi un autre édifice en haut de la pente qui servait de dortoir et de salle de jeu intérieur.
J’ai failli tomber en bas de ma chaise quand j’ai revu ce batiment où j’ai passé 4 ans de ma tendre jeunesse(de 1953 à 1957)…j’en ai des frissons. Faut dire que cette période de ma vie a été marquée par l’Institut Dominique-Savio car je n’étais pas heureux d’y être enfermé à l’année longue.L’été, on nous amenait à Ottoburn Park où les frères possédaient un genre de colonie de vacances qui s’appelait: LES BOSQUETS…là au moins on rspirait.
Sur Ste-Catherine,on ne sortait même pas pour aller à l’école…Des profs de la Comission Scolaire venaient nous enseigner dans des classes aménagées pour çà. On avait qu’un week-end par mois de sortie pour aller voir nos parents…pour ceux qui en avaient…
Bien tristes souvenirs….Salut à tous!
Sur la photo aérienne de 1959-1960, on peut voir une église sur la rue Jeanne-Mance (là où la Ville aménage en ce moment la Place du QDS. Quelqu’un pourrait-il me donner des infos sur cette église dont je ne connaissait pas l’existence il y a de cela quelques minutes ?
Il s’agissait de l’église Baptiste de l’oratoire.
A 3 ans j`étais l`orphelinat à ST-JEAN SUR-RICHELIEU au 170 rue Longueuil jusqu’à l`âge de 9 ans ??? les SOEURS m`ont amené en taxi à ma deuxième demeure. Vers 1948 ou ???? j`Étais interné au collège que l`on appelais à l `époque les buissonnets ou les BEANS PARCE QUE ON N`EN MANGEAIS A TOUS LES VENDREDIS.Un jour j`ai vue que la rue ST-Catherinne étais défoncé là ou les tramways passais .Le samedis les 180 garçons ce placais en rangée pour recevoir quelques biscuits brisés que la compagnie Viau ne pouvais vendre et j`avais toujours hâte parce que tantôt je pouvais espérez avoir un biscuit au chocolat avec du mash mallow un peux dur mai il étais le bienvenu et bon. Vers la fin de cette époque un nommé Mr. Vallé venais le vendredis soir nous montrer un film.Je me souviens d`avoir vu le Cardinal Léger.Quelques années plus tard il on changé le nom pour l`institut Dominique Savio avec des FRÊRES et c`est a cette époque qu8e j`ai entendu de la musique pour la première fois.
Cet endroit étais situé au 170 rue ST-Catherinne, maintenant la place des arts. L`été on nous amenais au camp dont le nom étais : LES BOSQUETS D`ALBERT HUDOND situé je crois a ST- HILAIRE .A CETTE ÉPOQUE ON APPELLAIS LE DORTOIR LA GRANGE.Je pourrais en parler longtemps avec beaucoup de mots et D `annecdotes.
Aujourd`hui j`ai 68 ans.JE DEMEURE A ST-JEAN SUR-RICHELIEU et je m`appelle Roland Hébert
Si quelqu’un veux communiqué avec moi voici mon EMAIL: agresdepeche_1@sympatico.ca
Que de souvenirs. J’ai été à cet institut (à partir de mes 11 ans) de la rue Sainte Catherine où les Tramways passaient au centre de la rue. J’y étais en 1956 en graduant dans les salles que l’on appelait impersonnellement petit, moyen et grand. Plus tard c’était au Foyer pour ceux qui allaient à l’école à l’extérieur des murs. Quelle aventure de découvrir ce monde nouveau quand la plupart du temps nous étions reclus. L’été, au camp “Les Bosquets” à Otterburn Park tout près de la station de trains, nous nous y amusions dans diverses activités très encadrés et d’aventure qu’aujourd’hui on aurait aussi appelé activité de plein air. La tâche de ces Pères et Frères administrateurs étaient trop grande pour s’adjoindre des animateurs de groupe et de les payer. Plus tard, c’est à la ferme “Dominique Savio” à St-Jean Baptiste que nous avions prêté nos bras et notre temps. L’utilisation est discutable et profitable pour eux en considérant que nous le faisions gratuitement sans en avoir le choix. Nous étions une part entière de l’oeuvre du Cardinal Léger et c’est tant mieux. Bravo pour ce photographe. J’ai aussi (jusqu’à mes 19 ans) été dans la nouvelle bâtisse de la rue Saint Hubert. Le terrain appartenait aux pères du Saint Sulpice, dont faisait parti le Cardinal Léger.
Ce fut très agréable de constater que d’autres jeunes de l’époque m’ont rappeler des souvenirs qui ont marqué ma jeunesse. J’arrivais des soeurs dominicaines à Longueuil. On nous appelais les capines. En 1959-1960 j’étais sur la rue ste-Catherine et au camp les bosquets à Otterburn Park. De 1960 à 1964 sur la rue St-Hubert.Faisant partie d’une grosse famille j’ai été choyé de me trouver à l’institut malgré la séparation du reste de ma famille. En arrivant dans ma famille j’ai vite pris le retard et bien reussi ma vie. Je garde très peu de mauvais souvenir de cette époque. IL m’arrive en voyant la place des arts de penser à ces souvenirs.
J’ai fréquenté l’Institut dominique Savio de 1953 à 1957 environ. J’arrivais du Patro de St-Hyacinthe. J’y est fait ma 5 6 et 7e année. J’ai eu comme professeur ( très excellent d’ailleurs ) Jean Guy Vincent,j’ai une photo de classe. J,ai connu le Père Gingras, le frère Trudel, le frère Villeneuve.On devrait organiser un conventum pour regrouper tout ce monde . J’ai aimé voir les photos de L,institut Jean Lapointe
Bien moi aussi j’ai été à Dominique Savio avec le père Gingras et les frères Trudel et Villeneuve,on couchait un dortoir en haut de la falaise et chaque nuit le frère Villeneuve veillait sur nous.J’ai jamais eu la chance de remercier le Père Gingras car ce que j’ai aujourd’hui je lui dois car il m adonné une chance de poursuivre mes études et j’ai eu comme profeseur
M Lamothe .Je ne sais pas s’is sonttous mort aujourdMhui alors je veux leur dire Merci du fond du coeur
Comme Gilles Pereault le dit,pour avoir à une sortie il fallait faite pointiller soit quand après savoir brosser les dents on allait voir le frère qui était en devoir pour faire pointiller la carte ainsi de suite!!!! le frère Trudel était celui qui s’occupait de la discipline et le frère du dortoir,le mien était situé en haut de la falaise. Vrai que les classes se passaient en dedans par des professeurs de la commission scolaire de Montréal.Le dortoir servait a plusieurs jeunes le soir divise en deux,ceux qui pissaient au lit et les autres et on mangaient tous au réfectoire et la même nourriture pour tous.Le matin on allaient tous à la chapelle en dedans de l’édifice!!!! je n’ai eu jamais connaisance de demandes sexuelles de ces gens qui nous gardaient,je ne sais pas pour les autres car plusieurs étaient des orphelins ou de parents séparés ce qui n’était pas mon cas.Comme dans la vie,il avait des gars plus corpulents que d’autre Nadeau -Trottier ect
j’espère avoir la chance d’en lire d’autres Bye
Je n’en reviens tout simplement pas de revoir l’endroit où j’ai passer 7 ans de ma jeunesse.
C’était entre les années 1953 à 1960 exactement dans cette batisse soit au 171 Ste-Catherine ouest. J’étais avec mes deux frères soit Claude et Roland, eux étaient dans la salle des petits avec le frère François Villeneuve et moi dans la salle des moyens pour ensuite quelques années plus tard être transférér dans la salle des grands avec le frère Trudel pour ensuite avoir ma propre petite chambrette au foyer puisque j’allais maintenant à l’école secondaire Le Plateau.
Je me souviens fort bien du pêre supérieur Yvon Gingras de mes amis Donat Banville, Raoul Boutin, Denis Lafrance, Robert Latendresse etc.Aujourd’hui maintenant âgé de presque 68 ans encore je me souviens.
Edmond Richer
St-Valentin, le 7 nov. 2011
Après l’orphelinat Ste-Thérèse de l’Enfant-Jésus à St-Jean-sur-Richelieu, nous avons aussi fréquentés l’Institut Dominique Savio, rue Ste-Catherine à Montréal de 1953 à 1959. Moi André Boutin âgé de 69 ans et mon frère Raoul âgé de 68 ans, qui est présentement dans un CHSLD À St-Constant, suite à un AVC. J’avais comme amis Marc Banville, son frère Donat ami de Raoul, dont je n’ai pus trouver leurs adresses car le supérieur ne transmettait pas les adresses même de nos amis. J’avais aussi Claude Lessard que moi et Raoul avons rencontré par la suite, mais il est décédé depuis au moins six ans. J’ai rencontré Roland Hébert toujours bon vivant. Je n’ai pas de nouvelle de Jacques Raymond. Réal Bouvrette à enseigner au CEGEP de St-Jean-sur-Richelieu et décédé par la suite d’un accident d’auto. J’ai transmit à Raoul les commentaires d’Edmond Richer parut sur ce site, il était très contant. Nous avons connus aussi le père Yvon Gingras, le père Raté, le frère Fortin, le frère Paul-Emile Trudel, le frère Darveau, le Frère Villeneuve, les enseignants M. Pelchat et M. Vincent. Pour ceux qui veulent entrer en contact : andbou42@hotmail.com (450) 291-5640.
André Boutin
je voudrais saluer Pierre Rochon, mon pot, le swiss, les freres Morabito ,Fortier qu’on appelait le Boss, le Pere Gingras ,le frere Trudel ,Villeneuve j’ai bien aimé cette place écouter le hit parade, jouer au pool, hokey, j’oubliais Harvey qui m’appelait Patate J ‘ai bien aimé Ottoburn Park je me souviens quand Rochon avait Lancé un javelot et que St Amable l’avait recu dans la cuisse, le frere Villeneuve qui racontait ses histoires au pied d’un arbre. Mon nom est Gérald Hénault je garde un bon souvenir de Vous J,étais dans les Grands a chaque fois que j,entends The Wayward Wind Gogi Grant je me vois dans la salle des Grands je revois Rochon qui avait le controle du radio avec mon Pot ,Salut A Vous tous j,aimerais bien entendre parler de Vous J’ étais la en 57 environ
en les anees 50 la communaute de st-vincent de paul peres et freres dirigeait dominique savio et une colonnie de vacanse a autoburn parc ou a lete etudiant jetais moniteur.je me suis remdu au buissonnet pour y executer de petits traveaux avec 3 jeunes de dominique savio ce que jai entendu de leurs confidences aujourdhui me font de bons souvenirs et il y a quelques jours je racontais ces souvenirs a un copain.rue ste-catherine de nos jours place des arts…bonne reception antoine beaule,drville
Je suis arrive au Buissonnets en 1939. J’y suis reste 15 ans, 8 ans eleves et 7 ans a travailler successivement sur l’etretien de la batisse,gardien de nuit et a la chaufferie.Dans les premiere annee nous allions a Carillon chez une ferme pour nos vacances. Nous couchions sur des payasses. Au debut c’etait pas facile pour dormir mais on s’y habituait.Je me souviens aussi des grosses cotes dans la cour de recreation on pouvait y descendre en patin a glace et continuer notre course jusque dans la patinoire.Plus tard je les descendais aussi en motociclette..Aujourdhui a 80 ans je garde un bon souvenir de ces annees d’enfances
Bonjour, moi aussi je me rapelle de dominique savio j’etais la de 1957 a 1960 sur la rue ste- catherineet de 1960 a 1963 sur la rue st- hubert. J’ai connu mes amis michel forcier mario denis et richard methot. J’ai connu aussi les freres villeneuve, darveau, geoffroy, lafrance, le pere gingras, le pere couture. Je me rapelle aussi du camp d’ete a otterburn park.quel epoque et beaucoup de souvenirs.
Bonjour à tous mes amis de Dominique Savio de la rue Ste. Catherine. Oui quel beau souvenir
de 1956 à 1957. Je salue mes amis Jacques Lamoureux, Gingras, André Émond , André St-Amand. J’étais dans la salle des petits avec le frère Villeneuve. Je suis arrivé de l’Orphilinat St-Joseph de la rue Bélanger. J’ai aujourd’hui 70 ans en pleine forme et je travaille encore 5 jours semaine.
On est rendu en 2020, j’ai maintenant 72 ans. À cause du covid 19, j’ai décidé de prendre ma retraite. Je suis toujours actif dans les sports GOLF et le HOCKEY. Je suis parti en 1964. Je crois que la plus part de ceux qui ont pris soins de nous sont sans doute plus de ce monde.