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Canadian Urbanism Uncovered

It’s not easy being green

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Sing it, Kermit: it’s not easy being green, as Le Devoir demonstrated this weekend in a feature on Montreal’s trees. Despite the vital role they plan in improving the city’s air quality, cooling its streets and improving the city’s ambiance, our 265,000 street trees suffer from abuse by snowplows, road salt and mean-spirited passersby. (Last winter, I saw a snowplow destroy a fairly sizable tree, and last summer, I witnessed three drunk men snap a baby tree in half on Ste. Catherine Street.) Here’s more from Le Devoir:

Exposés au vent, à la pollution, aux sels de déglaçage et aux agressions diverses, les 265 000 arbres plantés en bordure de rue à Montréal endurent en silence leur triste sort. Dans les secteurs résidentiels, certains atteignent une envergure respectable, surtout s’ils sont plantés en parterre, mais au centre-ville et le long des artères commerciales, leur survie tient souvent du miracle. Chétifs, rabougris, le tronc portant les marques de blessures anciennes ou récentes, ces arbres témoignent de leurs difficiles conditions de vie. Inutile de se fier au diamètre de leur tronc pour évaluer leur âge: en milieu hostile, certains arbres cessent de croître après leur plantation, prévient Pierre Jutras, agronome à la Division de l’horticulture et de l’arboriculture de la Ville: «Le long des rues commerciales, il y a des arbres qui ont vingt ans mais dont le diamètre est à peu près équivalent à celui qu’ils avaient au moment où ils ont été plantés. Ils ne croissent pas ou leur croissance est très réduite.»

Despite having to replace many of them each year, though, the city still does not have any reliable way of evaluating the health of Montreal’s trees. That might soon change:

Depuis 2001, la Division de l’horticulture et de l’arboriculture de la Ville dispose d’un protocole de suivi à long terme de 1500 arbres répartis dans les arrondissements de Ville-Marie, Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, Rosemont-Petite-Patrie et Plateau Mont-Royal. La croissance et la santé de ces arbres plantés le long de rues commerciales et résidentielles permettront de mieux évaluer leurs réactions aux agressions dont ils sont victimes.

Mais la Ville a un projet plus ambitieux: répertorier tous les arbres montréalais afin d’en dresser un inventaire géoréférencé qui se transposera éventuellement à celui des immeubles de la ville. Pierre Jutras a donc développé de nouveaux paramètres qui ont jusqu’à maintenant été utilisés par deux arrondissements, ceux du Sud-Ouest et de Lachine.

Although City Hall is slowly starting to take better care of its trees, it still does a pretty shameful job compared to other cities. For reasons that have never been clear to me, tree planters on many streets are missing their protective grates, which is both dangerous for pedestrians and harmful for the tree. Montrealers take this as an invitation to use the tree planter as a garbage bin, so trees on many commercial streets—Ste. Catherine in particular—are inundated with trash. Cyclists often lock their bikes to young trees, which can potentially be harmed and killed by the bike, and snowplow drivers are particularly careless; this past winter, at least 28 trees were killed by snow removal crews in the Southwest borough alone.

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2 comments

  1. is this another job that’s been devolved to the arrondissements?

    maybe wrought iron guards to go around the trees are too expensive. they might look nice though.

  2. The grates are probably stolen and sold as scrap metal. I read that even manhole covers get stolen, leaving the manhole open for anyone to fall into…

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