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Canadian Urbanism Uncovered

Le Faubourg à m’lasse: les origines d’une légende urbaine

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VM94C196-823

Source: Archives de la Ville de Montréal

By guest contributor, Claude Brochu


Les limites géographiques de ce quartier sont mal définies. Mais en gros, on peut dire qu’il était bordé, à l’ouest, par la rue Amherst, à l’est, par la rue Frontenac, au nord par la rue Sherbrooke et, au sud, par le port de Montréal. Pour faire plus simple, disons que l’actuelle tour de Radio-Canada est plantée au cœur de cet ancien quartier qui, avant de s’appeler le Faubourg à m’lasse, portait le nom de faubourg Québec.

Les origines du nom de Faubourg à m’lasse sont nébuleuses. Dans les années ’50, alors que je n’étais encore qu’un enfant, on m’a raconté l’histoire suivante. Est-ce conforme à la vérité ? N’est-ce qu’une légende urbaine ? Quoi qu’il en soit, cela s’inscrit dans la vie des gens qui ont habité cette si belle ville et cela suffit à perpétuer ce récit.

Dans ces années, Montréal est en fait constitué de quartiers qui reproduisent fidèlement les villages du Québec rural. Les gens vivaient presqu’exclusivement dans leurs quartiers et n’en franchissaient que rarement les frontières. Le quartier était un quartier populaire, constitué de travailleurs, principalement des « débardeurs ». Ailleurs, on parle de « dockers ». Ces débardeurs étaient des habitants du quartier ou des travailleurs saisonniers qui venaient à Montréal pour la saison du « débardage » alors que le port recevait les bateaux venant de pays étrangers et surtout exotiques. Ils vidaient les navires de produits nous venant de l’étranger dont la mélasse. Les gens n’étaient pas riches.

On m’a raconté que lors du débardage des barils de mélasse, les femmes du quartier se rendaient sur les quais avec de petits contenants. À la fin du transfert sur le quai de la cargaison de mélasse, l’opérateur de la grue laissait volontairement tomber le dernier baril, comme par maladresse, et les femmes recueillaient la mélasse dans leurs petits contenants pour la rapporter à la maison. La véracité de l’histoire à peu d’importance. C’est surtout qu’elle témoigne d’une solidarité à l’époque où ce mot était encore inconnu ou peu utilisé. Elle parle des gens démunis de Montréal dont on ne parle que trop peu. Elle parle de gens qui… donnent au discours économique un sens humain, le véritable ferment d’une société.

Many thanks to guest contributor Claude Brochu for sharing this story. We look forward to future recollections on growing up in Montreal.

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138 comments

  1. Peu importe, en effet, que ce soit un fait historique reconnu, il y a de quoi en faire une jolie légende, sinon urbaine, au moins d’arrondissement ;-)

  2. C’était pas à cause des réservoirs de Imperial Molasses qui se trouvent (encore) au sud de la rue Notre-Dame, dans l’axe de la rue d’Iberville???

  3. Bonjour Jean Naimard !

    Probablement avez-vous raison. Les odeurs des réservoirs de l’Imperial Molasse étaient sûrement assez intenses pour parler du “Faubourg à m’lasse”. Sur le plan rigoureusement historique, cela me semble la meilleure hypothèse.

    Claude Brochu

    PS. Mais, quel beau quartier…

  4. I doubt that molasses was imported to Montreal, as Montreal was (and still is) a huge sugar processor, and molasses is the by-product of sugar-refining.

    I agree with Jean Naimard that it must be because of the huge molasses storage facilities along the docks.
    They look so delicious with the little bit that drips down the side…

  5. Mon grand-père est né sur la rue Wolfe et a grandi dans le Faubourg a la Mélasse. Mon arriere grand mère y a vécu toute sa vie, surtout dans un logement de la rue de la Visitation qu’il lui avait acheté.

    Je crois aussi que le faubourg tire son surnom des gros réservoirs de Mélasse sur Notre-Dame.

    L’histoire des femmes ramassant le dernier baril de mélasse “échappé” m’a rappelé la recette de crème glacée que mon grand-père préparait avec ses amis:

    En hiver ils se levaient très tôt pour aller ramasser la crème gelée qui remontait et soulevait le petit capuchon de papier au sommet des bouteilles laissées chez les voisins par le laitier.

    Ils tranchaient ces petites mottes avec un couteau et les ramassaient dans un bol, une fois le bol plein ils rentraient à la maison ou ils y ajoutaient quelques cuiellerées de cassonade.

    Le souvenir de ce délice de rapine faisait encore briller les yeux de mon grand-père lorsqu’il m’en a parlé plus de 80 ans après la dernière cuillerée.

  6. J’ai été élevé dans le Faubourg. Aujourd’hui la partie la plus riche le coeur du Faubourg a été démolit. Je suis né sur la rue Emmet qui aujourd’hui n’existe plus. En effet se sont les réservoirs qui ont donné le nom au Faubourg. Enfant nous montions dessus pour jouer et nous allions y voler de la mélasse. Nous étions les pauvres parmi les pauvres et pourtant j’y referrait mon enfance n’importe quand. Notre petit coin c’était comme le village d’Astérix. Ne descendait pas en bas de Sainte-Catherine qui voulait. C’était avec risques et périls.

  7. je recherche actuellement des témoins ayant vécu dans le quartier du Faubourg à m’lasse avant la construction de Radio-Canada ainsi que après pour un projet de recherche à la maîtrise en histoire.

    merci de me contacter

  8. Je suis né en 1950 et jusqu’à l’âge de 21 ans c’est-à-dire jusqu’en 1971 je demeurais au coin des rue Ste-Catherine et Frontenac. Lors de mon adolescence je me suis tenu souvent au restaurant de hot dog qu’on appelait le New System qui était tenu par des grec. (Johnny, Peter etc.) J’étais aussi membre d’un orchestre qui portait le nom des Incompris. Je pense avoir connu le Paul Régimbald qui était plus vieux que moi. On pourrait écrire un livre avec toutes les histoires qui ce sont passées dans le temps d’ailleurs il y avait eu une émission de télévision qui avait été tournée dans le coin et qui s’intitulait « La rue des pignons »

  9. Quelles belles histoires à faire revivre ce quartier perdu!
    Merci!!!

  10. Pour tous les friands du Faubourg, je vous propose le livre de Sophie-Julie Painchaud “Racines de Faubourg”. Une histoire vécu, à travers les rues du quartier, avec ses joies et ses peines, ses moments joyeux comme difficiles.
    Bonne lecture.

  11. Bonjour.
    Je suis né au 2134 rue Maisonneuve, aujourd’hui appelée rue Alexandre de Sève en 1944.Je suis à la recherche de photos des gens, des habitations ou des écuries de cette rue qui ont presque tous disparus aujourd’hui.Nous avions été expropriés à cause de l’agrandissement de l’hôpital Notre-Dame vers 1952.Alors si vous avez des informations je serais très heureux de les recevoir sur ce site.
    Mes amis ou connaissances de l’époque étaient les Sainte-Marie, Pelletier,Léveillé,Archambault,Desrochers,Bizier,Lalumière,Dupont,Geoffrion et nous fréquentions tous l’école Plessis.
    Merci.
    Claude Langlais

  12. Je suis né au 1050 rue de Maisonneuve en 1942 et nous avons déménagé à Rosemont quand j’avais 14 ans en 1956.
    Je partagerais information, photos et souvenirs avec des gens de la paroisse Sainte-Brigide.
    Claude André St-Pierre
    Je joins un poème————————

    Le faubourg à la mélasse  Près du grand port loin de la mer douillet foyer de verre près de parents forts.  Après les grandes guerres près des garnements méchants près des bidons de mélasse protégés par un père vaillant.  Du haut des marches odeur forte de houblon arôme fin de plats mijotés par le cœur d’une maman.  Petits pas sur les trottoirs petites études très primaires jeux de cours et de ruelles rencontres joyeuses et insolentes.  Un coin de ville pas comme les autres de vieilles maisons coincées comme des sardines des morceaux de bateaux aux cris d’éternité sous son pont d’humanitude et de fraternité.  Un coin perdu et inconnu de la cité des pantois et travailleurs journaliers des mères et des enfants adorés une église bondée et méprisée.  Un quartier bourré des génies de constructeurs et de démolisseurs de filles de vie et de religieuses des gens du pays et d’inconnus.  Aujourd’hui, une seule maison la grande de Radio-Canada l’espérance d’une Nation le méli-mélo d’une Église. 

  13. Je suis André Noël, un hommes qui est né dans le Faubourg à m’lasse et puis j’ai resté 22 ans au 1357 Lagauchetière et mon père avait son épicerie-boucherie ( Marché A. Noël )au 1351 Lagauchetière depuis 24 ans et ce jusqu’a ce que radio canada démolisse les 5 logements et le commerce que mon père avait pour faire vivre sa famille.
    Donc, le Faubourg à m’lasse pour moi, tient son nom par la véridique de son nom, car voyez-vous la grosse majorité de nos clients étaient des débardeurs pour le pour de Montréal et qu’en hiver ils étaient presque tous sur le chômage et que nous au magasin souvent et même très souvent nous leurs remplissions leur pinte de lait de mélasse à même le gros baril de bois qui était au centre du magasin.
    Donc le nom Faubourg à m’lasse n’est pas une légende mais c’était la vie tous les jour de l’hiver.

  14. Mon grand-père, M. Ernest Hébert, débardeur puis scaphandre au port de montréal, est né en 1907 sur la rue Dufresne au coin de Ste-Catherine. Dans son enfance, il vivait avec son père qui tenait une boucherie dans le quartier, sa mère, une amérindienne christianisée, et ses 19 frères et soeurs. Ils vivaient au 2e étage dans un 6 et demi. Mon arrière grand-père aurait déjà jetter un poêle en fonte du 2ieme étage pour le donner à un itinérant..

    Maryse. anjou.

  15. Moi aussi je suis un gars du faubourg, je suis né au 607 Archambault et j’y suis resté de 1953 à 1973 après avoir été exproprié de la rue Notre-Dame. Toute mon enfance a disparu avec la démolition du quadrilatère Fullum/Morin/Emmet/Archambault. J’y ai vécu des moments inoubliables avec des gens vraiement chaleureux et généreux même si le quartier débordait de pauvretée. Tout le monde connaissait la vie de tout le monde. Il fallait être connu pour se promener dans le quartier car on attirait l’attention si on visitait le coin pour la 1ere fois et il fallait ”filer doux”. Moi j’y referait ma vie sans hésitation

  16. Je suis né sur la rue Carier au 2325,,,entre Sherbrooke et Ontario, J’ai vraiment de bon souvenir de tous les voisins de la rue de ce faubourg a m’lasse,mais dans cette période de 1954 on parlait de démolir cette artêre jusqu’a la rue Sherbrooke pour faire suite au Pont Jacques Cartier,c’est alors que mon pêre a décidé de déménager sur la rive sud de Montréal(Brossard) en 1955 et a fait l’acquisition d;une maison pour $4000.00 dans ce temps la,mais je n’ai que de bon souvenir et je recommencerait ce temps la……..

  17. je suis nee sur la rue amherst en 1926 et j ai vevue sur la ruewolfe dans 1 maison appartemantjusqu a mon mariage en 1948 je travait dans 1 fabrique de cigares
    enfant je vivajs avec ma mere sur la rue dorcnesetr et a sa mort en 1939 je suis alle a l horphelinat des soeurs de la providense coin visitation et lagauchetierre ou j en suis sortie 2 ans apres
    j aimerais bien avoir des photos de ce temps la

    gisele larose

  18. je suis née en 1949 au 578 Archambeault nous avons déménagé 10 ans plus tard de l’autre côté de la rue au 567. je n,ai rien oublié de ma jeunesse; le dépanneur au ptit coin, la pharmacie Charland, les dances au sous sol de l’église,l’école ste catherine, le parc Frontenac, le bain Quintal,les manufactures Dominion oilcloth, Dominion rubber et Dominion textile. j,aime toujours autant la senteur du prélart et de la melasse, équeuter les fraise pour 2 cents le casseau, durant les grandes chaleurs,les gars plus vieux dévissait la borne fontaine pou qu’on jouent dans l,eau, ext……..dommage qu’il ne reste plus rien de tout cela.’on devrait faire une rencontre des anciens du carré Emmet, Fullum,Archambeault, Morin.

    Dyane Gariépy

  19. Bonjour
    Jai lut les libre de michel david (Chere Laurette, La Poussiere Du Temps) et sa se passe dans se cartier … Voir que montreal etait comme ca avant sa minpressionne meme si les gens etait pas riche et quils etaient heureux je trouve que cest amusant pareil… Lisez cest livre! Chere laurette se passe sur la rue Emmett et la poussiere du temps sur la rue notre dame

  20. C’est encore moi car j’ai déjà écrit en mars 2010, mais lorsque je reviens sur ce site j’ai la larme à l’oeil en lisant les articles de tous ces gens qui ont vécu dans ce coin de Montréal. En lisant les messages de Dyane Gariépy et de Edmond Martel, je me suis dit je dois les connaître car j’allais souvent au 581a rue Fullum c’était chez les Durand. Les enfants étaient Micheline Durand, Yvon Durand et je crois André Durand. Lorsque Dyane Gariépy parle des danses au sous-sol de l’église, elle ma sûrement déjà vu, car la première fois que j’ai joué en spectacle avec Les Incompris c’était à Pâques en 1964, nous étions 4 musiciens et le Yvon Durand qui habitait sur la rue Fullum était un des guitariste de cette orchestre. Comme il n’y a pas juste des bons côtés il y a aussi les mauvais souvenirs. J’imagine que vous vous souvenez de Dupuis qui est mort en moto sur la rue Iberville. S’il y en a qui se rappelle de ces souvenirs et qui veulent me contacter, je vous donne mon courriel. jacques_alarie@hotmail.com On devrait tous écrire nos courriel afin qu’on puisse communiquer ensemble et peut être qu’un jour on pourrait faire un party. Bye bye à tous

  21. Aux amis du faubourg.

    J’ai apprécié visiter l’exposition.
    Que de souvenirs !
    J’ai déposé mes biographies aux archives du Musée.
    Le chapitre 1 s’intitule le Faubourg à la mélasse,
    Vous y trouverez un poème du même nom.

    Migrant dans ta cité
    bâtit ton Étatforge ton Avenirn’oublie pas ton Faubourg. 

    claude.andre.st.pierre@videotron.ca

  22. Je suis née en1950 , j’ai resté 2307-2311 Notre-Dame et 539 Fullum en face de la Dominium , je me souvient du bain quintal que j’ai appris a nagé . de la pizza que l’on achetais a 10 cent sur la rue Champagne, l.eclole Champlain, restaurant Lafleur que j’ai niesé souvent lol , du parc Frontenac que j’ai appris a patiné de quelque amis les Martel les Sénécal les Charon ,les Roy ,Dupuis,
    Martel,Marquis et beaucoup d’autre.

  23. Né en 1944 au 1600 rue Montcalm , j’ai habité jusqu’a 15 ans le 1230 de cette meme rue , entre Ste-Catherine et Dorchester .

    Mes voisins étaient des Breton , David, Robert, Quinn, Dubé, Painchaud ,mes amis des Lajoie , Labbé , Robillard, Legault ,J’ai porté les commandes à la pharmacie Montcalm ,et étudiant chez Deslaurier , épicerie située coin sud- ouest à l’angle Dorchester et Montcalm ,

    J’ai fréquenté l’école St-Pierre rue Panet et l,église du mème nom rue de La Visitation .J’ai commis un assai ” Souvenir et Cocasseries des années 50 du faubourg ” et je peux vous en faire parvenir un exemplaire .robert.dufort@videotron.ca

  24. Je fais des recherches sur le quartier Centre-sud, particulièrement sur les commerces qui ont marqué son histoire. Je ne parle pas des grosses manufactures (Grover, Molson, Macdonald Tobacco) mais plutôt d’entreprises (petites ou grandes) qui sont nées dans ce quartier (Dupuis, Monsieur Muffler), qu’elles existent encore ou pas.

    Pouvez-vous me renseigner?

    Un grand merci de votre attention,

    Jacinthe Harvey

  25. Pour le fun j’essayais de me rappeler les noms des familles du quadrilataire Archambault, Emmett, Fullum, Morin.

     familles: Douglas, Champagne, Proulx, Sévigny, Martel, Dupuis, Comptois, Henripin, Desrochers, Langlais, Gariépy, Roy, Sénécal, Quinn, Leblanc, Régimbal, Gallaguer, Varsélis, Paquin, Durand, Langlois, 

    POUVEZ VOUS CONTINUER???

    Dyane Gariépy

  26. Je suis née en 1950 rue Panet entre Ste-Catherine et Dorchester en face de l’école St-Pierre apôtre . J’ai habité ce coin jusqu’à mon mariage en 1972 et même mariée j’ai habité ce coin 3 ou 4 ans.

    J’ai fait tout mon primaire à l’École Ste-Brigide filles sur la rue Papineau . Je suis contente de voir que plusieurs se souviennent . Allez voir sur facebook LES ANCIENS DE L’ECOLE STE-BRIGIDE.

  27. Il y avait aussi: Sabourin,Riffon, Therrien,Maheu,une fille appelée Manouche, Brie,Lapointe,Gagnon,Charron,Paquette,Gibeau,Morissette,Deschamps,Léveillé etc.
    Mon père travaillait pour Hamel transport sur la rue Grant derrière l’école St-Catherine, il s’appelait aussi Edmond ainsi que mon grand-père.
    edmartel.5496@videotron.ca

  28. Bonjour au nostalgique du faubourg.

    Moi je suis née en 1957
    sur la rue Poupart au 594 & 575,qui maleureusement existe plus,j’ai demeuré la jusqu’à l’âge de 16 ans.Je lisait vos commentaire et pleins de souvenir me revenait en mémoire,l’école Ste-Cathrine où j’ai fait ma 1er et 2ie année,et l’école Champlain,et l’école Delorimier pedant la construction de l’école Pierre-Dupuis,le restaurant new système avec les tables de billard à l’arrière,la pharmacie Charland,la quinquallerie Dussaut,et la marché Pelletier (Richelieu) au coin de Poupart et Ste-Catherine,et l’autre coté de la rue il y’avait un magasin qui louai des bicycles (Lizotte).

    Et toutes mes amies de se temps,que j’ai perdu de vue ya bien longtemps,les Bélands,les Charrons, les Gauthiers,Pharand,Roy,Jeanson,Larouche,Pelletiers,Rondeau,et bien d’autre que j’oublies.

    Merci, Michel Ste-Anne-Des-plaines

  29. Hier soir je repensait à cette époques,et plein d’autre souvenirs me revenait en mémoires,y’a Mr.Paquette qui parle de la pizza de la rue champagne,et du bain quintal,où j’ai appris à nagé moi aussi,et le parc frontenac,c’étais pas son vrai nom je me souvient pas du nom exact,et du carré bellerive sur Notre-Dames entre Poupart et fullum,la aussi c’étais pas son vrai nom.

    Nos soirée qu’on passait au sous-bassement de l’église à jouer au hockey cosom,et au missisippi,et plein d’autre jeu,et nos première petite blonde.

    Mais le plus merveilleux souvenir, c’est quand on revenait le soir a la maison, et quand on tournait sur la rue Poupart,on voyait toute les têtes des mère accoter dans l’eu fenêtre a se jaser bord en bord de la rue,il pouvait être des veiller complet a se parler comme sa,et pratiquement tous les soirs,comme on dit,on était pas riche mais c’était le bon temps.

    Aujourd’hui quand je retourne dans se quartier ou j’ai grandit,et que mes grand-parents et arriére grand-parents,et tante-oncle on demeurer,et que je vois plus aucune de ses maison,j’ai plus aucun repère,je trouve sa épouventable d’avoir massacré un quartier comme ca.

    Voilà, c’est quelques petits souvenirs que je voulais partagé.

    J’ai beaucoup de plaisirs à lire vos commentaire!

    Michel.

  30. J’ai lu toutes les commentaires avec beaucoup respect et de nostalgie, j’ai senti votre peine et cette brisure d’un passé si important dans nos vie….quel vide au fond de mon coeur. J’ai demeuré sur la rue Cartier entre Lagauchetière et Dorchester, fait tout mon primaire à l’école Sainte-Brigide, suis allées au camp d’été chez les soeurs du Bon Conseil de la rue Champlain. J’ai 1 frère et 3 soeurs qui on eu le même parcours que moi jusqu’à la mort de ma mère à l’âge de 35 ans dans notre logis au 1079 de la rue Cartier. J’avais des amis de mon primaire et secondaire à l’école Gabriel Souart, Garneau, et l’ancien stade DeLorimier dont j’ai gradué en 1969 au moment de sa démolition pour l’école Pierrre-Dupuy…enfin, mes amies dont je nommerai seulement les noms de famille…Dalphond sur la rue Ste-Catherine, Laliberté sur la rue Dorion, Roy rue Dorion, Bourgouin rue Dorion, Harbour rue Cartier, Hamel, rue Cartier, Boudreault rue Cartier, Trudeau rue Cartier, Perreault rue Cartier, Morin rue Ste-Catherine, Morin rue Cartier, Plouffe rue Cartier en haut de Ste-Catherine, Sweeney rue Cartier dans les années 1955 `1960 enfin….mon prof….S. Clément enfin je pourrais continuer JB Langevin sur la rue Dorchester, Narbone rue Dorion, le p’tit dépanneur en face de l’école Ste-Brigide des filles…j’ai 61 ans et mon coeur se serre si fort quand j’entends parler du Faubourg ou que je lis les commentaires comme ceux-ci…je partage votre nostalgie, votre compassion, votre grande loyauté envers tous les gens que vous avez connus. Je n’ai jamais pu combler ce vide, j’y ai retourné pendant les démolition voir mon ancien logis…c’était brutalement difficile et je pleurais tellement, je voulais que tout ce passé revienne que pour un instant…dire bonjour à ma mère avant qu’elle ne meurt et lui dire ….je t’aime maman…la rue Cartier c’est ma rue et le restera jusqu’à je ne sois plus sur cette terre….je vous souhaite à tous beaucoup de bonheur mina_54@msn.com

  31. Wow!  Je suis née en Ontario en 1972 et j’habite maintenant en Alberta.  Mes grands-parents venaient du Québec donc l’histoire du Québec et surtout de Montréal me fascine énormément!!  Je suis en train de lire “Chère Laurette” de Michel David et ça se passe sur la rue Emmett.  J’essayais de trouver la rue sur “Google Maps” et elle n’est plus là.  Je lis vos commentaires ci-dessus et j’éprouve une tristesse profonde. C’est bien dommage que ce quartier n’existe plus mais continuez à en parler car on peut le revivre avec vous!! Merci!

  32. Ayoye! Quels souvenirs. Je suis née en 1962, baptisée a la paroisse St-Eusèbe. Primaire a Gédéon-Ouimet, secondaire a Gabriel-Suart et Pierre-Dupuy. Quelle belle jeunesse sur la rue Lalonde coin Fullum. Mes frères et soeur ont beaucoup de vécu avant moi dans le quartier. Tout vos commentaires sont plaisant a lire car je ne suis pas seule a avoir été heureuse dans ce quartier.

  33. Mon père est né (1926) dans le faubourg à m’lasse. Et il était débardeur. Il était «chauffeur de grue». Et nous avons profité des derniers déchargements.

  34. Ho la la que c’est bon de revivre en mémoire ces beaux moments de ma vie.Je suis née en 1946 et demeuré au 909 et 927 Beaudry suis allé à l’école Ville-Marie dans la paroisse st-Pierre Apotre et je pense que le pire dans ma vie c’est le jour ou on a du déménagé et qu,ILS ONT TOUT DÉMOLIS.Mais quels beaux souvenirs.

  35. j’ai habité au 1150 Montcalm coin Dorchester de 1947à 1952.Notre coin de rue a été démoli et j’aimerais tant revoir ma maison surtout vue de la rue Montcalm. Mon oncle avait le garage Victor Grenier qui faisait parti de cette maison. Il faisait des pneus Goodyear. Mes amis (es) étaient les Noel, Breton, Quinn,Robert ,Goupil et Painchaud.Je suis peut-être nostalgique mais j’y garde tant de beaux souvenirs. J’allais à l’école Ville-Marie rue Visitation. En avant de chez nous,(rue Dorchester) il y avait l’épicerie Deslauriers. Que de bons souvenirs!

  36. Que de nostalgie et de beaux souvenirs… Je suis née en 1950 au 911, rue Beaudry. J’ai été baptisée et fait ma première communion à la très belle église Saint-Pierre-Apôtre. J’ai fréquenté l’école Ville-Marie avec les Soeurs de la congrégation Notre-Dame. En première année, c’est mère Saint-Eustache qui m’a enseigné. En deuxième année, c’était Mme Blandine Chaput. Après, j’m’en souviens plus. Nous avons dû partir à cause de Radio-Canada. Je ne me suis jamais vraiment remise de cette «migration» vers Ville Jacques-Cartier où la bouètte était maîtresse. Comme dit si bien Claude Dubois: « J’ai souvenir encore d’une vieille maison que l’on dut démolir rongée par les saisons…» C’était pas beau… C’était un taudis… Mais, on aurait pu manger par terre chez nous tellement ma mère était propre. Et mon beau tunnel Beaudry… mon père qui klaxonne en passant dedans… Mon «fond de cour» était très précieux pour moi. Avec mes yeux d’adulte, c’est sûr que la vue n’était pas très belle… on voyait les fonds de cour de la rue de la Visitation ainsi que ceux de la rue Craig (les Chevalier, entre autres…) Mais on m’a arraché un coin du coeur en partant de là. « Mais ce soir, je te laisse un peu de mes pensées ». J’ai connu les Yalbmert, les Faucher, les Chevalier, les Ti-Guy Charbonneau… mon meilleur monde !!! À vous tous de notre ancien faubourg, une grosse bise !!!

  37. Bonjour.C est avec beaucoup de nostalgie que ja i lu tous vos commentaires et je demandais si des gens pourraient se rappeller de ces noms et m en parler svp.Ils ont vecus dans le Fauboug et plus precisement dans les annees 1950 rue Notre -Dame Est.Voici les noms .
    Irene Drainville veuve de Edouard Cloutier et remarie a Edmonds Deschamps.Noella ,Fernand et Jacqueline Cloutier .Merci beaucoup et au plaisir et vous relire.D.Cloutier

  38. Bonjour à tous! C’est vraiment touchant dee voir tous vos commentaires pour moi qui apprend tou juste à connaître ce quartier. Je suis originaire de Québec mais je viens d’emménager à Montréal et je fais présentement des recherches sur la biscuiterie David de la rue Champlain (ce qui m’ammène à découvrir votre quartier). Est-ce que certains d’entre vous auraient des souvenirs liés à la biscuiterie David ou à la famille David ? Vos souvenirs me seraient très utiles! Au plaisir !

  39. bonjour , mon grand pere aujourdhui decede a travailler pendant 40 ans comme boucher d une petite epicerie rue amherst entre st catherine et rene levesque si ma memoire est bonne .mon grand pere s appellait paul bergeron . est ce que cela vous dit quelque chose …

  40. Bonjour tout le monde,

    Par un heureux hasard je suis tombée sur cette lecture du Faubourg à m’lasse.

    J’ai vécu à cet endroit, baptisée à l’église St-Vincent de Paul, fréquentée l’école Ste-Catherine, soeurs Saint-Alice 1ère année, Sre St-Pierre au piano,
    Sre Jobin 5e (envoyez mes bûcherons, nous criait-elle quand nous descendions l’escalier bruyamment). Le p’tit restaurant de Monsieur Ménard coin Grent et Dufresne… L’épicerie Lafleur sur Fullum … La maison blanche sur Fullum (centre d’accueil pour les personnes âgées). Je me rappelle des Chabot (Manon, Sylvie et Gilles) des Langlois (Manon et Sylvie ) Blanchette (Mario) Tremblay (Daniel et Pierre) Matte (Lorraine) Quinn (Francine, Johanne, Bobby, Ronald (dcd) Charron (Carole) Sévigny (Carole, Sylvie et Pierre) la grande famille Dupuis (ma mère t’a fait enlevé ta suce que tu avais sur une bouteille de liqueur et les spectacles de ballerine que tu lui donnais sur la clôture je pense que c’est Micheline) ma mère nom de fille Yvonne Sabourin c’est madame Desroches du 591 rue Fullum. Lucille et Lorraine et Daniel sont décédés, mon père est Gérard il était au port de Montréal et a travaillé aussi chez Hamel Transport rue Grent. Mes parents sont décédés. Je me rappelle de nos glissades en face de la Dominion (prélards) nos jeux des indiens sur les deux collines au coin Fullum et Ste-Catherine remplacées par le poste de TV Radio-Qc

  41. … Je me souviens
    De nos danses au sous-sol de l’église St-Vincent de Paul, de la goutte de lait juste à côté, et du local de gymnastique dans le fond du même bâtiment ( Mlle Ménard professeur de gym) elle fallait lui épousseter les épaules avec un p’tit balai pour enlever ses pellicules (ah ah ah ). L’odeur des repas du midi chez les soeurs de l’école Ste-Catherine hummmm. Je me rappelle de Danielle Charron je trouvais qu’elle ressemblait â Danielle Ouimet. Les familles Marquis, Langlais (Bidou) Synnot (Diane, Hélène) Lanciault (Lucie) , Ti Rouge qui venait peinturer chez mes parents (Desroches). Les Wilson (Pierrette et Micheline) les Larouche qui restaient sur le coin Fullum et Morin, les Sirois (Daniel …) Lucie Lanciault dont les parents étaient concierges â La Maison blanche. Les familles qui sont arrivés plus tard (Desjardins, Girard, je me souviens de deux enfants de la rue Archambault que l’on appelait Mimique et Bubunnes. Je me rappelle de nos ruelles de terre, de nos hangars de bois. Du parc Bellerive, du parc Frontenac avec sa grande patinoire l’hiver. De la piscine Quintal et du bain Laviolette. Madame Quintal de l’épicerie qui nous vendait des lune de miel et des sacs de cheaps 1c du boucher a l’arrière ou tu pouvait acheter ta livre de Balllone, la Patisserie MontRoyal les p’tits pâtés moutons, le Chinois de la rue Ste-Catherine oû tu faisais presser tes chemises….
    Famille Sabourin Desroches

  42. Je me souviens…
    J’ai connu une Josée Cloutier mais elle habitait près de l’école Champlain qui était une école de gars mais qui a accueilli les premières filles dont Josée en faisait partie. Des cordes à linge avec des combinaisons porte arrière (combines) et camisole, et les draps pour les pisseux au lit. Du presbytère avec ses vidanges dans lesquels on trouvait des cartes de Noël et comme les soeurs nous avaient appris on faisait des p’tits calepins. Le fameux restaurant Chinois au coin de Frontenac en face du Parc le shop suey au porc frais. Le docteur
    qui venait soigner et accoucher les femmes â la maison. Le départ pour les camps d’été St-Adèle et Contrecoeur. Les deux soeurs qui avaient un magasin en face de l’école Ste-Catherine oû ta mère achetait tes bas, tes tuniques, tes chemises blanches pour l’école. Le gros magasin Dupuis et Frères sur la rue Ste-Catherine avec ses portes tournantes et son soul-sol aux bas prix oû les soeurs avec leur gros sac a claques magasinaient pas cher. Le magasin Woolworth avec leur bonne tarte au citron. Le Kresge ou tu achetait tes vêtements. Le Steinberg en dessus du pont Jacques Cartier, hummm le gateau a l’orange, les poulets déjâ cuits. Et l’épicerie les sacs â Tousignant. La pharmacie Mayrand. La Bendix (laveuse et sécheuse) sur Ste-Catherine. Je me rappelle des Leclers de la rue Archambault. La famille Tapp sur Archambault, les Désilets rue Fullum oui Claude je me souviens tu avais un frère qui a eu un très gros accident de voiture. Les Sabourin (Ginette Danielle et Yves dcd) de la rue Emmet ou Morin… Famille Boone (Danielle Sylvie) plus tard les Perreault. Le Bossu Desrosiers qui habitait la maison Blanche. Madame Bijoux qui portaient de gros coalliers de perles et s’assoyait sur un banc le dimanche au coin du restaurant Ménard elle habitait dans un des logements des Désilets sur rue Fullum.

    Que diriez-vous si on se donnait rendez-vous le 2 juin 2013 à 10 h sur la rue Fullum et Ste-Catherine à côté du presbytère. On pourra faire une marche dans le quartier se rappeler des souvenirs même si les maisons n’y sont plus elles sont dans nos coeurs et nos têtes.

    Je n’ai jamais oublié ce quartier, je rêve qu’un jour on puisse le rebâtir sans oublié la grande Maison Blanche pour les aînés.
    Alors rassemblez-vous pour ce rendez-vous venez écrire ici. J’ai un peu éparpillé ma pensée dans mes écrits mais au fur et à mesure de mes souvenirs je vous raconte.

  43. Bonsoir..Une petite question svp.Le medecin qui accouchait a la maison savez vous son nom ? Le docteur
    qui venait soigner et accoucher les femmes â la maison cest la phrase citer par la Famille Sabourin Desroches.Merci D Cloutier

  44. Bonsoir D.Cloutier, pour ce qui est du docteur, en fait il y en a eu deux je crois, je me rappelle du docteur Major mais j’ai malheureusement un trou de mémoire pour le deuxième médecin qui était vraiment extraordinaire, très humain, non seulement il accouchait les femmes à domicile mais il nous rendait visite pour les soins médicaux de la famille. Il me semble qu’iil a été directeur ou chef de département dans les années 60-70 au Foyer Emilie Gamelin (Soeur de la Providence rue Fullum) qui est devenu un Centre d’hébergement et de soins de longue durée CHSLD.

  45. Question pour Dyane Gariepy.

    Est-ce que votre grand-mère a été la nounou de Georges Guitary (chanteur). Il venait la visiter sur la rue Archambault, c’était l’évènement du siècle, une vedette dans notre village d’Astérix surnommé ainsi par Paul Régimbald. ;))))

  46. Bonjour .Merci beaucoup de votre message Sabourin Desroches.C est un bonheur de lire tous ces messages sur le Faubourg et en esperant que peut-etre les noms mentionner Cloutier et Deschamps diront un petit quelque chose a des gens..Bonne journee D Cloutier

  47. Bonjour.Estce-qu il y a des gens qui auraient des anciennes photos pres du 8021 rue Notre Dame Est a Montreal avant que le tout soit demoli svp ? Merci D.Cloutier

  48. Ma grand-mère paternelle, Françoise Cadieux est née en 1918 sur la rue De la Visitation. Mère Dora Leblanc. Elle et ses soeurs ont trimé dur pour aider leurs parents. Elle nous a beaucoup parlé du Faubourg, j’ai lu tous vos commentaires, c’est vraiment bien de pouvoir imager même si le quartier n’est plus. 

    Elle me racontait comment la série de livres de Michel David lui rappelaient son enfance, j’ai lu le 1er. Quelle pauvreté ils ont endurée… 

    Elle a malgré tout vécu une belle vie. 
    Merci Mamie, là où que tu sois.

  49. WOW et re wow. Tombe par hasard sur de la lecture décrivant ton cartier d’enfance avec autant de précision et par des gens qui porte tous des noms de famille qu’on avais presque oublié c’est assez fort. J’ai trop de souvenirs qui se bouscule en tête mais je tient à ajouter quelques nom à votre répertoire. J’ai grandi sur la rue Dufresne, plus précisément au 615 entre ste-Catherine et Notre-Dame. Donc j’ai passe le plus claire de mon temps au sous sol de l’église st-Vincent de Paul(loisirs), j’ai tout fait ce que l’on pouvait faire au bain quintal, patiner au parc Frontenac(Jos Monferrand). Mon groupe d’amis était constitué des Gaillardetz, Patry, Rousselle, Gagnon, Beaudry, Caron, Lamontagne, Decarie, Bellavance, etc………….
    Le travail de livreur à la pharmacie Charland a été mon premier emploi à 13 ans et on a tous mangé de la pizza au tomate(la meilleur au monde) a la pâtisserie Marchesan de la rue Champagne(Clelio était un camarades de classe). Ça se bouscule dans la boîte à souvenir.
    Au plaisir de vous relire.

  50. Bonjour .C est toujours un bonheur de lire tous ces messages .M .Barry c etait en quelle annee que vous avez vecu dans ce quartier svp ? Merci .D.Cloutier

  51. Salut à tous, que de bons souvenirs de ce quadrilatère Archambault, Morin Emmet, Fullum. Je me rappelle de la famille Desroches de la rue Fullum. Il y avait un ami que l’on appelait de son surnom TI-PIT comme moi, il avait dans le temps une petite moto. Je crois que Georges Guitary visitait mme Sévigny sur la rue Archambault. Je retiens la date et bien sûr j’y serai le 2 juin. Bye.

  52. Re bonjour.En relisant ts les messages je me suis dit peut -etre ds ce quartier la une personne se rappellera de Fernand dit de son surnom le Zoo et donc sa mere etait Irene Drainville .Merci .D.Cloutier

  53. Bonjour,

    J’ai vécu au 629 rue Dufresne de 1955 à 1962. École Ste Catherine. 1ère Soeur Alice et deuxième année professeur Madame Denis. Excellente pizza aux tomates. Senteur de la bonne farine. rue Champagne. Famille Lanctot rue Dufresne arrivée vers 1930 -1962 .   Le gros feu de la pharmacie au coin Dufresne. Le magasin de tissus les sœurs Allard. Le guinillou qui ramassait tout. Les lunes de miel… Dépanneur Lesage rue Dufresne. Première communion. La senteur du couvent. La tunique marine et la blouse blanche. La rue Grant. Le bon gateau moka d’une pâtisserie dont je ne me souviens plus du nom. Manufacture d’objets en plâtre. La St. Vincent de Paul. Dernière visite il y a une dizaine d’années.

    Partante pour la rencontre du 2 juin 2013

    Que de beaux souvenirs!

  54. Je me souviens très bien de ce coin là. Mon mari et moi nous travaillions au loisirs St-Vincent de Paul dans les années 72 bet encore jusqu’à aujourd’hui que maintenant les Loisirs St-Vincent de Paul s’appelle le Centre récréatif Poupart qui est maintenant situé en haut du bain Quintal.Lorsque nous avons quitté le sous-sol de l’église St-Vincent de Paul, nous sommes déménagés sur la rue Poupart(ancien palais des sports. Puis suite à la démolition de ce centre dans les année 85-90, nous avons réussi à obtenir de la ville de Montréal le haut du bain Quintal.Nous y sommes depuis ce temps là. De tous les noms que vous mentionnez je les connaissais presque tous. Je suis l’épouse de Georges Leclerc qui demeurait au 2325 de la rue Notre-Dame.Moi je suis née dans le quartier coin De Montigny et Poupart. Quans je me suis mariée je demeurais en haut de la pizza de la rue Champagne. Quels beaux souvenirs.

  55. Bonjour Mme Leclerc.en lisant votre message je me suis demande si ces noms vous disent un petit quelque chose ? Ils etaient ds le temps eux aussi rue Notre Dame au 8120.Irene Drainville veuve de Edouard Cloutier et remarie a Edmonds Deschamps.Noella ,Fernand et Jacqueline Cloutier .Merci beaucoup et au plaisir et vous relire.D.Cloutier

  56. Monsieur Cloutier

    Ces noms ne me disent rien car c’est beaucoup trop loin le 8120 Notre Dame. Nous c’était au 2325 rue Notre-Dame

  57. Bonjour a tous ca me donne la chaire de poule en vous lisant ma grand-mere Yvonne Lavoie, ma mere Francoise Roy et ma tante Lise Roy y on rester.. Ma mere est ne en 1933 et ma tante en 1935. Je me suis fait conter certaines choses par ma mere et ces amis (es)
    quand ma mere etait dans son vivant. Ma mere a toujours dit que malgre que la famille y etait pauvre c’etait les bons moments
    de sa jeunesse, mais qu’elle a du eleve sa soeur et je crois les autres enfants que ma grand-mere a eu que je ne connais pas leur nom de famille car mon grand pere Francois Roy revenant de la guerre a pris sous son aile les deux enfants qui n’etaient pas les siens.Ils s’appelle Marcel et Bertheline Roy (nom de famille de mon grand pere). Ma grand-mere avait un probleme d’alcool dans ces moments la alors voila la raison que ma mere Francoise Roy a su les eduquer. Je ne sais pas sur quelle rue que ma mere ou elle y est ne. Ma mere a suposement travailler dans un magasin de “draperies” ca je me pose la question si c’etait dans le cartier. J’ai aime vous lire et merci de partager ces moments que ma mere a su y vivre

  58. Moi j’ai bien connu Pauline et Robert Desroches , il sortait avec mon amie Lise Quinn . Adolescente je me faisait teindre les cheveux par mme Martel sur Emmett qui avait 1 seul enfant un jeune Garçon. il y avait aussi Denise Tremblay sur Fullum elle avait 2 frères. Plus jeune j’étais amie avec Jeannot Dupuis , Micheline Henripin et Huguette Roy. J’ai bien de la peine d’avoir manqué la rencontre…. J’ai trop retardé à revenir…..danou1349@hotmail.com En tout cas Sabourin Desroches tu as une mémoire extraordinaireJe suis certaine de te connaître ainsi que Edmond Martel

  59. Bonjour Audrey moi j’aurais des commentaires à t’ecrire car j’ai travaillé à la Biscuiterie David de de 1953 à la femeture au mois de mars 1985
    je cois que c’est le 22 mars 1985,
    Si vous me donner votre courriel je pourais vous envoyer ce que vous voulez savoir

    Merci
    Huguette Lesage
    lesageh@videotron.ca

  60. Salut tout le monde,

    Je cherchais un lien pour retrouver Sœur Irène ( Archambault) a l époque de l école Sainte-Catherine. Je sais elle a parlé a une de mes tante ( Pierrette Langlais et Marc André Langlais , Marché Riopel autrefois , rue Dufresne et Champagne connu rue des pignons ) je voulais faire une surprise a ma tante et la retrouver moi même puisqu’elle demandait des nouvelles de moi a ma tante ce jour de janvier 29 2014 . J ai fréquenté la relance , le sous sol saint vincent de paul jouer au mississipi . Mes amies étaient Lise Meilleur ( que j ai retrouvé grace a Facebook) Francine Pinard , derniere fois j ai vu c est en 1987 apres la naissance de mon premier fils . Les Forgues, Therrien, Chapedelaine diane carole et sylvie que je parle encore aujourd hui , Boudreault, Létourneau, Potvin et j en passe . Oui ce quartier était un quartier rempli de bonnes personnes , pas riche mais on étaient tres heureux .

  61. bonjour a tous moi aussi j,ai ete eleve sur Emmett,Archambeault,Morin meme apres avoir demenage je continuait a aller dans le bout de mon enfance, inoubliable le monde

  62. Bonjour, moi je suis née en 1934 sur la rue Moncalm près de Dorchester après, ma famille et moi nous étions 4 enfants Jean Paul , Jeannine moi et Robert nous sommes déménagés au 954 rue Maisonneuve à ce moment là mon père était à la guerre. ma mère a déddé de déménager au 1985 rue Dorchester est coin Dorion et moi et ma soeur allions à l’école Ste-Brigide rue Papineau jusqu’à ma 7 ième année .Mes frères Jean Paul et Robert allaient à l’école Plessis comme nous étions pas riches j.ai commencé à travailler au Biscuits David à l’âge de 16 ans et j’ai du quitté la maison parce que mon père après la guerre est devenu très dur avec nous autres . Je me souviens des Carpentiers, des Perrons, des Pagé ,de l’épicerie Langevin coin Cartier et Dorchester. l.épiceirie Narbonne M.Bourgouin avec son équipe de Balle Molle nous partions dans un gros camion avec une boîte ouverte et nous allions au Parc Jarry voir notre équipe de balle molle jouer il y avait dans cette équipe les frères Masse dont l’un s’appelait André et l’autre je le trouvais tellement beau et les deux travaillaient à la Brasserie Molson et aussi il y avait les Cotés sur la rue Dorion .aussi les Duchesne dont une était ma grande amie Réjeanne et l’autre s’appeleait Alice. à l’âge de 16 ans je travaillais toujours au Biscuits David qui a fermé ses portes le 22mars 1985 et par après j’ai travaillé au petits gâteaux Stuard et aux biscuits Christie encore là la compagnie Stuard à fermé et elle a transferré ses opérations chez les Gateaux Vachon à Ste-Marie de Beauce et par après j’ai travaillé au bicuits Lido `St-Lambert jusqu’a ma retraite en l’an 2000. et voilà le résumé de ma vie dans le Faubourg à la Mélasse que j’ai bien aimé nous connaissions tout le monde on se parlait de fenêtre à fenêtre on regardait passé les voitures qui étaient assez rare dans ce quartier pauvre, il n’y avait pas grand chose à faire la télévision n’excistait pas à ce moment là .
    Si il y a des personnes qui me connaisse j’aimerais bien communiquer avec eux mon courriel lesageh@videotron.ca

  63. Bonjour,
    Je rechercher mon père biologique Paul ou Jean-paul dont le père (mon grand-père)
    aurait été livreur de pain dans le Faubourg à la mélasse en 1954-55.
    Le nom de famille de ce livreur de pain serait la clé pour retrouver mon père biologique dont je ne connais pas le nom de famille puisque ma mère ne l’a pas marié et elle ne se souvenait pas de son nom de famille et elle est maintenant décédée. Il semblerait que mon père serait encore vivant .
    Alors si vous avez des noms à me fournir ainsi que la rue ou ce livreur aurait demeuré, vous pouvez m’écrire à mon adresse courriel bermarc@videotron.ca
    Merci à l’avance de votre aide. Cette information serait très précieuse pour moi.

  64. Famille Sabourin Desroches : J’aimerais entrer en contact avec cette famille qui a publié des passages de la vie du faubourg à Mélasse . Si vous vous reconnaissez ou si quelqu’un peut m’informer comment les rejoindre, j’aurais besoin d’information concernant les nom de ceux qui pouvaient livrer le pain aux maisons en 1954 car l’un deux serait mon grand-père.

    Mon adresse courriel est bermarc@videotron.ca et mon nom Marcel Bernier de Longueuil

    Merci à l’avance de votre aide.

  65. Bonsoir,
    Je reviens après deux ans, et c’est toujours un plaisir de vous relire, que de beaux souvenirs
    Je reste toujours aussi pleine d’émotions, joies et aussi de tristesse à relire chacun de vos moments de vie des ces quartiers
    J’y suis retourné il y a deux ans au 1079 de la rue Cartier entre René-Lévesque et Lagauchetière près de Notre-Dame entre Papineau et Dorion
    J’avais le cœur serré de voir encore tous les changements, je suis et serai toujours une éternelle nostalgique et je n’y changerais rien
    J’y ai vécu longtemps, une vingtaine d’années environ, et je sentais encore l’énergie des familles, tout le monde s’aimait aussi simple que ça. L’école Sainte-Brigide c’était mon école, de 1956 au secondaire, l’école Garneau, Gabriel Souart et ensuite l’ancien Stade Delorimier (Pierre Dupuis) jusqu’en juin 1970.
    Si jamais il se trouvait quelqu’un parmis vous et que vous étiez de mon époque 1951 et +, je serais vraiment contente de vous lire
    Joyce Roy
    joyceroy333@hotmail.com

  66. Bonjour à vous tous! Je ne suis pas du secteur Faubourg a’mlasse mais je faisis des recherches généalogiques sur les Desrochers et je suis tombée sur ce site. Très intéressant! Plusieurs d’entre vous mentionnez les Desrochers et j’aimerais avoir des noms svp. , je veux dire des prénoms! J’ai grandi dans le secteur Côte-des-Neiges et je sais qu’une partie des Desrochers (le frère de mon grand-père), sa famille vivait dans ce coin-là. Mais malheureusement, les Desrochers ne se visitaient pas!!! Pourquoi j’aimerais bien le savoir! Voici mon courriel: desrochersf.b@gmail.com
    Merci

  67. Je suis arrivé à ce site par hasard en faisant une autre recherche, ça m’a amené à aller faire un tour dans le coin, j’ai habité la rue Beaudry et suis allé à l’école Garneau, par la suite on a déménagé sur Lafontaine et j’ai continué mon primaire à Marguerite Bourgeois (la vieille et nouvelle) puis on a encore bougé sur Plessis et l’école Ste-Brigide ensuite le secondaire à Souart et mon père a changé d’emploi et on a monté vers la rue Garnier et je me suis retrouvée à LSD L’École secondaire DeLorimier pour y faire un cours de sténo-dactylo en 1970 et c’est là que j’ai rencontré mon mari avec lequel je suis toujours, on a eu 3 enfants.
    J’étais très discrète dans ce temps là et je n’avais pas beaucoup d’amies

  68. Ma mère biologique, Jeannine Jones, a habité au 1135 rue Wolf-coin Dorchester, à la fin des année 1940 jusqu’en 1956-57. Elle est né en 1934. Si vous avez des souvenirs, photos de classe ou quoique ce soit à me raconter à son sujet, je vous en serais infiniment reconnaissant, puisque je n’ai qu’une photo floue d’elle et que je ne l’ai pas connu. Vous pouvez me contacter au rayworld32@yahoo.ca. Merci ! Raymond Jacques

  69. Peut-être que quelqu’un connaît un Michel Cloutier ou sa famille ce dernier décédé en avril 1971 je crois. Selon mes informations il aurait vécu dans le quartier.

    Merci, si quelqu’un peu me renseigner.

  70. moi je mesouvient de l ecole st catherine et les dance au sol de l eglise je suis arriver dans le cartie en 1969 partie 1971 je me souvient de la famille gauthier les doitte les roy sus notre dame moi je reste au 615 dufresne je me souvient aussi de roberd piquette il ete toujours chez mes perent je me souvint aussi de la famille boucherlucie et france je me souvint la famile simard les comtoin que reste juste en haut de chez moi et les spirrow a cote de cher moi et le depanneur lamare enface de cher et remonde jai fait ma promier annes jste a la 5 ans que de beau souvient mais il reste plus rien de notre beau cartie

  71. Moi aussi j y air passe Mon entrance ma gang Edmond Paul Gerard
    On a eu des coups de piedd au cul une des grande epoque de ma vie malgre un pere alco et violent pas
    envers nous mais quand meme j ai survecu les Charron Roy Regimbald Synottes Martel Desroches tours des amis
    Mes cousins Michel et Robert la super lune apparaissait sur Notre dame de la rue archambault oui on a manger de la melasse j en mange encore Salyut la gang

  72. Bonjour.

    WOW… Je lis c’est commentaires et c’est avec des filaments de souvenir que je reconnais. Je suis (sûrement le plus jeune de vous tous) née sur la rue Harmony (entre Larivière et Rouen) en 1964 et baptisé à l’église St-Eusèbe de Verceuil, fréquenté l’école primaire du même nom (St-Eusèbe), St-Jean-Baptiste Meilleur, joué dans la (démolition du Stadium Delorimier, mangé des coups de pieds au cul par les frères (rue Fullum) parce qu’on passait au travers de leurs bâtiment pour se rendre à la maison. Que de souvenirs de ti-cul, quand plus tard, je suis repassé sur cette rue….dans ma tête d’enfants sur mes courtes pattes qui couraient dans la ruelle…me semble que c’était immense…Souvenir du Bain Quintal, du parc Consol (derrière l’église), bain Mathieu, snac bar chez Tino, le marché Laverdure coin sud Ouest Fullum et Larivière…, la grover rue Parthenais que l’on arpentait en grimpant sur le toit à la recherche des oeufs de pigeon…fiou…que le temps passe vite. J’ai présentement pleins de photo de la démolition du Faubourg à m’lasse et c’est pour retracer les rues ( Emmet, Morin et cie) mentionnée plus haut) ainsi que Craig, Hermine, Vitrée….que je suis tombé par hasard sur votre “mine” de commentaires. Merci…..de la part de nombreux souvenirs, qui courent plus vite maintenant que celui qui écrit.

  73. Bonjour, j’ai grandi entre la rue Montcalm, Panet, Dalcourt, lartigue, (ça déménageait souvent) :) années fin 60 début 70 J’aimerais savoir si vous auriez des photos de ces endroits, surtout Montcalm pres de Dorchester, il y avait un petit parc sur le coin…les voisins étaient les côtés, Quinn,
    Pelletier, Gingras etc. Nous étions souvent dehors avec nos bicycle a 3 roues, que de souvenirs.

  74. Bonjour je suit née en 1948 aux 928 a Wolfe dans un fond de cour et plus tard je suis déménager au 916 de la rue wolfe je suit rester la 20 ans avec mes parent mes amis était Marcel St-Laurent et son frere Donald Robert Lachance son frere Jean-Louie Joseline Lachance juste a lentrer principal de radio canada sur la rue wolfe les 4 coins était notre terain de jeux sur un coin ily avais Marcel Larue qui louais des vélo sur l autre une imprimerie et lautre épicerie Gingras

  75. Bonjour à tous les amoureux du Faubourg !

    Je viens aussi du Faubourg à m’lasse que j’ai aimé par-dessus tout et qui est toujours bien gravé dans mon coeur. Je suis née en 1951 sur le Plateau, mais un an après, mes parents déménagent sur la rue Maisonneuve (aujourd’hui Alexandre De Sève) entre les rue Ontario et Lafontaine. L’endroit où j’habite est devenue ”ma cour”, car il y a 16 familles qui vivent dont 8 en arrière dans la cour et 8 en avant avec des fenêtres qui donnent sur le trottoir où je passerai de nombreuses heures à regarder les passants. J’ai grandi sur cette rue à danser à la corde, au bolot, à la cachette, à la guenille brûlée, à la ”tag”, à promener mes châtons dans une boîte de carton sur les rues avoisisantes. J’ai fait mon école primaire à l’École Marguerite Bourgeois située entre Panet et Plessis près Ontario, puis ma 8e année à l’École Garneau, et ensuite le reste de mon secondaire à l’École Gabriel Souart au coin des rues Lafontaine et Papineau, pour finalement graduer en secrétariat médical à l’école De Lorimier. J’ai fait ma première communion et ma confirmation à l’Église Sacré-Coeur sur la rue Ontario entre Plessis et Maisonneuve. Le Faubourg représente pour moi les meilleurs souvenirs de mon enfance, malgré la pauvreté, la violence, les chicanes, l’odeur d’alcool, mais les cordes à linge, les persiennes (jalousies), les galeries et les escaliers gris, l’épicerie du coin à côté de la cour à bois sur la rue Lafontaine, le restaurant où j’allais chercher mes fudges, cornets, revels, bonbons à 1 cent, mes chips en retailles, mes osties, mes réglisses en forme de négresses, mes outils au chocolat, mes cornets à la tire d’érable, mes cigarettes Popeyes, etc., me font aujourd’hui oublier toute la misère que j’y ai vécu et dont j’ai été témoin. Mon bain extérieur préféré était la piscine Papineau juste à l’entrée du Pont Jacques-Cartier; et mon bain intérieur favori était le bain Généreux sur la rue Amherst au nord d’Ontario. Le parc de mon enfance : Le parc Lafontaine où je vais encore souvent relaxer et méditer. J’ai un bon souvenir du Parc Belmont à Cartierville où j’allais passer des dimanches entiers avec maman. Mon amour pour ce quartier fabuleux restera marqué dans mon coeur et dans ma tête pour toujours. J’ai aujourd’hui 63 ans et lorsque je descends la côte sur Alexandre De Sève au sud de la rue Ontario, mon coeur me remonte dans la gorge et je me revois petite fille faisant une descente de traîneau dans la neige scintillante et je me vois arrêter en plein milieu de la côte pour ramasser trois 25 cents brillants à travers les cristaux de neige. Voilà pour le premier chapitre aux souvenirs ! Bonne lecture et au plaisir de vous lire à nouveau ! Diane Laprés (surnom de l’époque : Diane la banane !)

  76. Rebonjour tout le monde,

    Suite de mon livres aux souvenirs.

    J’aimerais ajouter quelques noms de familles qui vivaient dans la cour à cette époque de mon enfance, dans les années ’50 et début ’60 :

    Je me souviens des Monchamp, Montreuil, Gareau, Durocher, Lamoureux, Bougie, St-Jacques. Les autres, si vous vous reconnaissez, faites-moi signe et il me fera plaisir de vous lire.

    Merci de me suivre.

  77. Bonjour à tous les nostalgiques comme moi du Faubourg !

    J’ai écrit hier, mais mon texte est disparu ! Alors, je recommence, Je suis née en 1951 et j’habitais au 1864, rue Maisonneuve (aujourd’hui Alexandre De Sève). J’y ai habité pendant une vingtaine d’années. De 1959 à 1965, Je suis allée à l’école Marguerite Bourgeois entre Plessis et Panet près de la rue Ontario, puis j’ai fait mon secondaire 8e année à l’école Garneau sur la rue Visitation, et le reste de mon secondaire à Gabriel Souart coin Papineau et Lafontaine. J’ai terminé mes études à l’époque à l’école De Lorimier en 1970 pour faire un cours en secrétariat médical que j’ai adoré. J’ai travaillé par la suite à l’Hôpital Jean-Talon. Je me souviens des persiennes, des galeries et des escaliers gris de ma cour comme je l’appelais. Il y avait 16 familles qui habitaient dans la cours dont 8 en arrière et 8 en avant qui, elles, avaient des fenêtres où l’on s’appuyait pour y regarder passer le monde sur les trottoirs. Aujourd’hui, ma maison n’est plus, car elle a passé au feu dans les années ’70, mais heureusement qu’elle était alors abandonnée. Par ailleurs, quand j’y retourne, je mets les pieds sur la terre où j’ai joué dans cette cour remplie de souvenirs, de jeux : la cachette, la ”tide”, la guenille brûlée, la danse à la corde, la bolo, etc. Je me souviens de quelques noms des gens qui ont vécu dans ma cour : les Monchamp, les Gareau, les Durocher, les Montreuil, les St-Jacques, les Bougie. Si vous vous reconnaissez, faites-moi signe si j’ai oublié votre nom. Malgré la pauvreté qui sévissait dans le Faubourg, ce sont les plus belles années de ma vie, de mon enfance et de mon adolescence. Je n’ai pas beaucoup de photos de cette époque, mais mon coeur et ma tête ont conservé et gardé bien présentes ces images qui flottent encore dans mon ici-maintenant. Je suis contente de pouvoir partager avec vous, amoureux du Faubourg, ces moments heureux et importants de la première partie de ma vie.

  78. J’ai écrit sur ce blog, par nostalgie de l’époque ou tout était possible,
    A Diane et Joyce, on s’est certainement croisées car on y était à DeLorimier la même année.
    Le grand Gilbert était le président de l’école cette année là, on a eu le bal de graduation au Reine Élizabeth.
    Je n’ai jamais eu vent de retrouvailles, car je suis certaine que plusieurs y seraient allé

  79. bonjour moi je demeurais a 2343 notre-dame ma soeur nicole ont jouaient toujours sur la rue archambault mes amies étaient HÉLENE MARTEL MONIQUE ROY GITANE VILLENEUVE JULIA GÉLINAS MADELEINE GARGAS JEAN-CLAUDE HENRIPIN FERNAND MÉTIVIER CARMEN LAPORTE sivous vous reconnaisser écrivez moi monE-MAIL DYDY0742@HOTMAIL.COM

  80. Je suis fort probablement la plus jeune jusqu’à maintenant, et soit que certains ici connaissent mes parents, soit que je suis allée à l’école avec vos enfants si vous habitiez encore le quartier au début des années 80. Mes grands-parents habitaient sur la rue Beaudry dans les années 50 et 60 (Jean-Claude et Irène Lamarche) avec mes oncles et ma mère: Serge, Pierre, Louise.

    Je suis née en 1976 et nous habitions sur la rue Poupart, juste en face de l’école Gédéon-Ouimet; j’ai été baptisée à l’Église St-Eusèbe-de-Verceil et fait mes premières communions et confirmation à l’Église St-Vincent-de-Paul, j’ai fait tout mon primaire à l’école Champlain, de 1981 à 1987, et j’ai fréquenté le collège Ville-Marie sur Wurtele par la suite. Je garde de très bons souvenirs de mon enfance et du quartier en général; je me rappelle d’un magasin de vélos au coin de La Fontaine, de la quincaillerie juste à côté où ma mère recevait ses commandes du catalogue Sears, de mes cours de natation au bain Quintal, du centre Poupart, du petit dépanneur bleu au coin de Dufresne et Logan (y est-il encore?)…je me rappelle certains professeurs que j’ai eus au primaire et qui ont eu une profonde influence sur moi et de tous mes amis de l’époque; j’en ai retrouvé quelques-uns vis Facebook mais pas tous. Je suis déménagée en banlieue depuis mais je suis revenue étudier à l’UQAM au début des années 2000 et j’ai aussi travaillé sur Papineau près de René-Lévesque pendant un certain temps.

    Je me rappelle aussi quand ma mère m’emmenait chez Oscar près de Papineau (il en reste un autre près de Valois il me semble), de la bibliothèque centrale sur Sherbrooke au coin de Montcalm où j’allais avec mon père, d’une clinique où j’avais mes vaccins quand j’étais petite (sur Plessis ou de la Visitation je crois, avant qu’on ait le CLSC sur Ontario…c’est vague), le dentiste où j’allais sur Fullum en face de l’église St-Eusèbe (Louis Bélanger je crois), le Lafleur près de Des Érables, l’épicerie en face du métro Papineau (Steinberg il me semble), des fois où ma grand-mère m’emmenait magasiner sur Ste-Catherine et qu’on allait jusqu’au Da Giovanni après. Ma grand-mère avait déménagé près de Pie-IX donc je me suis promenée beaucoup entre ces deux quartiers, dont je garde d’excellents souvenirs! Nous n’étions pas riches, mais nous étions heureux; j’ai acquis de belles valeurs que j’ai transmises aujourd’hui à mes propres enfants. Chaque fois que je reviens à Montréal, j’essaie de retourner dans le Faubourg pour leur montrer où j’ai grandi.

    C’est beau de vous lire, je redécouvre le quartier de mon enfance et vous m’apprenez plein de choses à son sujet! Je reviendrai vous lire souvent!

  81. Bonjour à tous et toutes;
    je suis né au 1346 Lafontaine ( coin Panet littéralement ) en 1946 et nous y avons vécu jusqu’en 1955.
    Ma mère faisait de la couture à la maison; j’ai fait ma première année à l’école Garneau et mes 2ième et 3ième à l’école Salaberry.
    Je me souviens ( avec l’aide de ma mère ) de plein de commerces : Snack Bar Laviolette, Épicerie Fiset, Confiserie Simoneau et Tissus Labonté aux coins Panet – Lafontaine. Il y avait aussi le barbier Quéry en face de chez nous.
    Je reconstitue aussi les commerces sur la rue Ontario : Épicerie Tousignant, Mercerie Chez Michel, Le Balmoral 5-10-15, la bijouterie St-Jean, la pharmacie Pinsonnault, etc…
    J’aimerais bien sûr des photos de cette époque.
    Au plaisir
    MS

  82. Bonjour à tous et toutes;

    Je suis né au 1346 Lafontaine ( coin Panet littéralement ) en 1946;
    Ma mère faisait de la couture à la maison. Je suis allé à l’école Garneau pour ma première année ( avec Mlle Denault) puis à l’école de Salaberry pour mes 2ième et 3ième (avec Mlle Chevrier ).

    Je me rappelle ( avec l’aide ma mère ) des commerces aux quatre coins Panet – Lafontaine :
    soient le Snack Bar Laviolette, l’épicerie Fiset, les Bonbons Simoneau et les Tissus Labonté.
    Il y avait aussi le barbier Quéry en face de chez nous.

    Je tente de reconstituer la liste des commerces de l’époque sur la rue Ontario, tels :
    l’épicerie Tousignant, la mercerie Chez Michel, le Balmoral 5-10-15, le Yellow Shoes, la bijouterie St-Jean, le cinéma, la banque, la pharmacie Pinsonnault, etc…

    Connaissances/souvenirs : les Archambault, les Mathieu, les Gauvin ( rue Lafontaine )
    les Drolet, les Ratelle ( rue Panet près de Logan )

    Photos de l’époque bienvenues.

    MS

  83. Que de beaux témoignages de votre part. Je viens de me procurer le nouveau livre (2014) ‘Quartiers disparus’, où il y a plusieurs photos des rues dont vous faites mention. En ce qui me concerne (58 ans), j’habite ce quartier depuis 1986. J’ai aussi possédé un triplex (2001-2004) sur la rue Champagne, ayant mon propre Pignon du célèbre téléroman La Rue des Pignons. J’ai rencontré à l’époque la petite fille de Mia Riddez (l’auteure du téléroman). Je suis devenu ami, et le suis encore, avec les proprios de l’ancienne Pizzaria dont vous faites mention de la même rue. J’aurais aimé savoir si votre rencontre du 2 juin 2013 a eu lieu.

    En y repensant, on a démoli une partie du Faubourg à Mélasse pour agrandirles rues Dorchester (René0Lévesque) et Notre-Dame puis construire Radio-Canada, et maintenant on pense à faire des condos sur ce trop grand espace!!! Peu de réflexion à long-terme, voyez-vous!

  84. Que de beaux témoignages de votre part. Je viens de me procurer le nouveau livre (2014) ‘Quartiers disparus’, où il y a plusieurs photos des rues dont vous faites mention. En ce qui me concerne (58 ans), j’habite ce quartier depuis 1986. J’ai aussi possédé un triplex (2001-2004) sur la rue Champagne, ayant mon propre Pignon du célèbre téléroman La Rue des Pignons. J’ai rencontré à l’époque la petite fille de Mia Riddez (l’auteure du téléroman). Je suis devenu ami, et le suis encore, avec les proprios de l’ancienne Pizzaria dont vous faites mention de la même rue. J’aurais aimé savoir si votre rencontre du 2 juin 2013 a eu lieu.

  85. Bonjour à tous,

    Vos notes sont très touchantes. (Et toutes écrites dans un français remarquable!! Vous avez peut être grandi dans un quartier pauvre, mais il vous a tout de même rendu plus riches que bien des gens aujourd’hui!… ;-)

    Ma famille a habité plusieurs années le Faubourg (Papineau-Craig) puis rue Cartier au nord d’Ontario. Mais c’était dans les années 40 à 60 environ, avant ma naissance en 68 où tous étaient alors dispersés entre le plateau, hochelaga et St Henri. Peut être que le nom de famille Nodorakis vous dira quelque chose? Père Nicolas, mère Laurette avec 4 enfants (mes oncles tante et mère) Pierre, André, Diane et Michelle. J’aurais tant aimé pouvoir marcher sur les rues de tous ces souvenirs qu’ils racontent à chaque reunion de famille (qui helas compte beaucoup moins de monde)!

    Au passage je vous recommande fortement le livre “Montréal Les Quartiers Disparus” paru l’an dernier où vous trouverez un magnifique recueil de photos d’époques du Faubourg à m’lasse ainsi que du Red light et autres, toutes plus émouvantes les unes que les autres.

    À vous lire je me demandais si quelqu’un d’entre vous avait eu l’idée de créer une page ou un groupe Facebook où vous pourriez échager vos souvenirs et vos photos? Et même organiser des rencontres? Je peux donner un coup de main si vous en avez envie, écrivez-moi au yzabel@live.com.

    Sur ce bonne continuation et au plaisir de vous lire à nouveau!

    I Nodorakis

  86. Bonjour à tous!

    Je suis née en 1941.
    J’ai habité au 1430 rue Parthenais jusqu’à 1953.
    Puis, je suis revenue vivre sur la rue Dufresne près de Notre-Dame.
    Puis, je cherche des photos de l’effondrement du mur dans les années 1950 au coin de Ste-Catherine et de-L’ormier.
    J’ai lu tous vos messages et Je suis très touchée de lire que nous avons tous gardés de beaux souvenirs.
    À bientôt!

  87. Bonjour!

    Je reviens vous parler d’un souvenir du dimanche.
    C’est le cinéma DIEPPE à Longueuil, une de mes amie et moi prenions l’autobus de Longueuil jusqu’au bout du pont Jacques Cartier, le théâtre s’y trouvait.
    Je me souviens d’avoir vu la porteuse de pains, La belle et la bête, La belle de Cadix avec Luis Mariano ect…
    Pour nous c’était une belle sortie. .50 cents et deux billets d’autobus.
    jf@chucara.com
    Je vais revenir car j’aime ce site.

  88. Bonjour!

    C’est encore moi!

    Sur ma rue il y avait beaucoup de Familles dont je me souviens des noms.
    Mondor, Thérien, Desjardins le bedeau avec sa famille Louise et Michel, Tessier, Pilote, Prud’homme, Lavigne, Lépine, Kelly. Villandry, Charbonneau, Bourrette, Caryer, Gagnon, Ayotte, Bergeron, Papineau, Larose.

    Puis nous avions Rose-Laflamme. Une buanderie, La Plante et la glacière Chartrand.

  89. Bonjour je suis un nouveau résident Fullum et Ste-Catherine. J’habite dans l’ancien couvent des Soeurs de la Providence. Ce bâtiment a été transformé, en partie, en logement pour retraité 55 ans et plus. Présentement je suis a lire un livre de Michel David. Chère Laurette. Il y a 4 livres. Je suis a découvrir ce magnifique quartier. Laurette habite la rue Champagne, près de Dufresne. Le parc Bellerive est en vedette.On y parle aussi de l’église St-Vincent de Paul et de ses curés. Laurette marié, déménage sur la rue Emmett près de Fullum. L’école Ste-Catherine, l’école Champlain y font parties. Si vous avez la chance de trouver cette série de livres par Michel David – Chère Laurette, prener le temps de les lires. Beaucoup de souvenirs a y trouver. Une partie de ce quartier a été démoli pour élargir la rue Notre-Dame.

  90. bonjour j’ai demeurée au 1931 rue Cartier de 1940 a 1954 que de bons souvenirs
    a l’école Lartigue rue Bordeaux mon oncle était concierge Jean Paul Auger (décédé) les soeurs de la congrégation N.D.
    je chantais a l’église Ste Marguerite Marie face au pont Jacques Cartier
    ça a l’air que j’étais tanante a l’école des noms familles dont je me souviens;Lajeunesse, Pelletier,Bertrand,Chagnon,Gendron,Thibault,Perreault,Laferriere,Tremblay,Blain,
    Robillard,Fortin,Martin Nicole, Dupuis,Vezina,Dubord,etc……Montpetit, si quelqu’un se souviens de moi vite faites moi signe ……tellement de souvenir a renouveler
    j’allais patiner au stadium Delorimier et le religieuses nous surveillaient par leur fenetre
    elles savaient tout tout tout mais que de bons souvenirs avec ces religieuses
    a la prochaine je viens de découvrir ce site ….21/09/2015

  91. Bonjour à tous,
    J’ai pris une partie de mon a.m. pour lire vos commentaires, qui me ramènent à mon enfance, dans ces quartiers.

    Je me rappelle de la construction du Métro Frontenac en face de chez-moi. Pas évident d’essayer de visualiser un métro lorsque tu as 4-5 ans.

    Je me rappelle d’avoir habité dans le coin de la rue Beaudry et Ontario. Il y avait des Tremblay, Cusson… j’ai commencé l’école (1ère année) dans ce coin. Je me rappelle de Oscar, de Balmoral.

    Je me rappelle être déménagée fin 1960 sur Iberville puis Frontenac entre la rue Lafontaine et Maisonneuve (DeMontigny, je crois à l’époque). Je me rappelle du Car Wash sur Frontenac. Je me rappelle de l’école Ste-Catherine, de l’école Champlain, de l’école secondaire Gabriel Souart. Je me rappelle de mon voisinage: Bradette, Paulin, Charron, Milot, Bélisle, Therrien, Pratt, Patcheco, Dufort, Pinard, Samson. Dans ce quartier, j’étais plus vieille, je me rappelle de la pauvreté, je me rappelle des chants de ma chorale pour la messe de minuit à l’église St-Vincent-de-Paul. Je me rappelle d’avoir servi les messes les semaines, les fds, alors qu’en milieu rural, seulement que les garçons le pouvaient. Je me rappelle des groupes de musiciens qui se pratiquaient dans les cours arrières. Je me rappelle d’avoir participé à plusieurs émissions à TVA. Je me rappelle d’être sélectionnée par Radio-Québec pour une émission de télé (avec trois autres élèves de mon école).

    Je me rappelle des petits commerces dans ce quartier nommés dans vos souvenirs. Je me rappelle de bons souvenirs et… aussi de mauvais souvenirs sur le pauvreté, l’alcool, la drogue, les abusés et la violence de ces quartiers. C’est dans ces quartiers qu’on tissait des liens serrés dans la famille et les bons amis.

    Au plaisir de vous lire à nouveaux sur des souvenirs.

  92. Je suis né au 2318 rue Emmett . Je suis bien content de vous lire tous. Je suis a terminer un livre qui parle de nous. Ce ne sera pas le premier mais je crois qu’il va beaucoup vous toucher. Bonjour Dyane Gariépy je me souviens très bien de toi même si je suis un peu plus jeune. Tu étais tellement belle. J’étais en amour de petit garçon avec toi. Ça j’en parle dans mon livre. Je me souviens de vous tous comme si c’était hier. Je pense souvent à cet enfance et si j’avais a la revivre je choisirais de la vivre là. C’était tellement vivant il n’y a pas un mauvais coup qu’on a pas fait. Il y avait des personnages de roman dans ce coin là. Ti Ness Varcélis César Langlais, Frigo les Lurgies il y avait de quoi écrire un livre. Suis tr`s ému de vous lire. Ceux et celles de la gang qui se reconnaîtront venez nous rejoindre sur Fb
    Bonne journée ma belle gang. On a démolit les cabannes mais pas les liens

  93. Je suis nee en 1962 et comme monique massey qui a ete une amie d’enfance moi et me jumelle avons ete eleve sur la rue lalonde entre fullum et dufresne que de bobs souvenirs d’ailleurs mes amies d’enfance nous manque a moi et ma soeur sylvie ont a vecues des moments merveilleux a gedeon ouimet , gabriel ? Et pierre dupuis

  94. Je suis Nicole Trempe mais je ne porte plus ce nom aujourd’hui. J’ai grandi sur la rue Cartier entre la rue Ontario et Sherbrooke au 2294 et au 2296 juste à côté de la cour de Bell Canada. J’ai fréquenté l’école Lartigue sur la rue Bordeaux et Lartigue Annexe sur Papineau. Mon secondaire ce fut à l’école Gabriel Souart sur Papineau dirigée par des religieuses et mon secondaire 3 et 4 à la polyvalente Pierre Depuis et mon 5 à la polyvalente Émile Nelligan. Que de souvenirs! J’allais très très souvent au parc Lafontaine. Je me rappelle de l’épicerie Paré, le restaurant Beauchamp, des voisins qui écoutaient du country, la chanson Bobépine, les bons biscuits de chez Oscar et de leurs grosses boîtes de chips de 4 lbs, la pizzéria au coin de Ontario et Cartier, du cordonnier sur Ontario entre Dorion et Bordeaux je crois. Je me rappelle des familles Lamoureux, Trudeau, Martel, Demers, Poliquin, Gariépy. Près du Oscar, il y avait une boucherie où pendaient des lièvres. C’était la paroisse Ste Marguerite Marie et il y avait un abbé qui se promenait en moto avec des motards et qui servaient la messe le dimanche en jeans et jouaient de la guitare. J’ai vendu des cartes de bingo au sous-sol de l’église pour gagner un peu de sous. J’ai quitté Montréal à l’âge de 18 ans et lorsque j’y retourne, c’est toujours un grand plaisir de marcher dans le quartier où j’ai grandi.

  95. De retour au village de la m’lasse,

    Le médecin qui accouchait à la maison se nommait Louis-René Coallier. Le livreur de lait était monsieur Vincent.

    Paul n’oubliez pas d’ajouter 5 heures du matin , la bouilloire boue…..

    Pourquoi, nous n’avons aucune photo de ce quadrilatère ? Pourquoi avoir démoli ce quartier qui n’était pas dans le plan Dozois ? Quelle est donc l’histoire de cette démolition ?

  96. Ma mère habitait beaudry et Bonbaparte et ce qui est arriver c’est qu’un soir de grand froid plusieurs baril ont éclater et il ont permis à la population d’aller chercher la mélasse c’est pour cela que le quartiers se nomme le faubourg à mélasse

  97. bonjour a tous mon mari a vecu sur ontario panet il cherche un homme revenu des camps de concentration qui travaillait dans le secteur peut etre comme tailleur , et il avait son numèro ecris sur son bras et il racontait comment il avait passé pres de la mort , en ligne le matin il s envoyaient l’homme en avant de lui a la mort lui au travail celui d,en arrière a la mort … Mon conjoint voudrais tellement se souvenir de lui plus précisément . mon conjoint avait environ 8 ans et il se souvient encore il est pas certain du tout mais lorsqu,il pense a cet homme il lui semble qu,il se nommait alex mais rien n,est sur merci de votre colaboration

  98. Je suis heureuse d’avoir grandi dans ce quartier.

  99. Comme il est agréable de lire tout ces commentaires. Mon grand père Hervé Hébert est né sur la rue Champlain entre Ontario et La fontaine en 1913. Ma mère, Suzanne Hebet y est également née en 1949. Ma grand-mère elle est née sur la rue Panet et mon arrière grand-mère y tenait un restaurant au coin Panet et La fontaine.

  100. Je suis né sur la rue Morin près de Fullum en 1953 la rue Morin n’existe plus ces le stationnement de télé-québec je crois, pour moi pourquoi on a surnommé le faubourg a mélasse ,si mes souvenir son bon il y avait une entrepôt de mélasse sur la rue De Montigny (aujourd’hui de Maisonneuve ) entre Fullum et Parthenais car dans mon temps de Maisonneuve étai nord sud mainetnant Alexandre deSève et je me confesse j’allai voler des bidons de mélasse …………

  101. Oups encore un peux de moi en regardant tout ce que vous avez écrit j’ai été baptiser a l’église st-vincent-de-paul été a l’École sur la rue fullum (champlain) vue bâtir le siège social de la SDQ ,le bain quintal et laviolette ou je me trampais lol les timbres god-star rue de lorimier le steingberg rue ste-catherine et dorin ou je livrai les commandes avec une brouette le parc Lafontaine été comme hiver , dans les scout paroisse sacré-coeur ontario et plessi etc

  102. Bonjour ,je m’appelle raou côté j’ai grandit devant le foyer Émilie gamelin,souvent le matin je pouvait sentir l’odeur de la mélasse du silot sur notre dame au parc belle rive ,plus tard dans mon adolescence ma mère m’avais aprit à faire des biscuit mélasse qu’elle avait a pris cher les soeur de la congragation notre dame dans ce cartier ,j’adorais ça et j’en ai fait beaucoup et longtemps avec un amis qui restai près de la aussi ce qui m’a amener à devenir pâtissier décorateur ,j’ai un goût pour l’art 25 ans de pâtisserie diplômer du gouvernement du Québec à l’institut d’hôtellerie du Québec ,j’ai travailler aussi comme pâtissier dans ce cartier ,je suis un petit gars du faubourg à mélasse comme on dit :)

  103. Bonjour tout le monde! J’arrive sur ce site tout à fait par hasard. Je vois que ces commentaires ont débuté il y a plus de sept ans.
    Je suis une Brien dit Desrochers mais j’ai grandi dans le secteur de Côte-des-Neiges. Par contre je sais aussi que nous avions de la famille dans le faubourg amlasse que je ne connais pas. Donc je profite de cette occasion pour demander s’il y a parmi vous tous des Desrochers qui seraient Brien dit Desrochers. Je fait la généalogie de ma famille et j’aimerais les connaître. Il y a quelques années, j’ai rencontré une cousine éloignée qui avait grandi dans l’est de Montreal.
    Je serais très intéressée à rencontrer les Desrochers du Faubourg à mlasse.
    Voici mon mail: desrochersf.b@gmail.com
    Francine (Frannie)

  104. Message à Claude Langlais. Mon père aussi, est né, sur la rue Maisonneuve, mais en 1938. Vous dites que parmi vos amis d’enfance, il y avait des Ste-Marie. Mon père est Paul-Émile. Il est de 6 ans votre aîné. Toutefois, il a des frères et sœurs que vous avez, sans doute, connus. Jean-Claude, Armand, Michel, Mariette, Francine et Diane. J’ai parlé de votre message à mon papa ce soir (19 juin 2016), il se souvient d’un Guy Langlais, est-ce votre frère ?

  105. Message pour Madame Jacqueline Fortier

    J’aimerais savoir quelle famille Ayotte vous avez connu dans le Faubourg a M’lasse, car voyez vous je suis né en 1946 et baptisé a l’église St-Pierre-Apôtre .vous pouvez me rejoindre a mon émail.
    J’aimerais avoir de vos nouvelles a ce sujet.

    Merci beaucoup

    André Ayotte

  106. Bonjour à tous. Je suis un nouveau résident du quartier depuis 2 ans. J’habite maintenant dans l’ancien couvent des soeurs de la Providence qui a été transformer en une résidence pour personne autonome et une autre partie pour personne non autonome. J’ai découvert ce beau quartier en prenant ma marche tout les matins. Je vous recommande une série, écrite par Michel David. Le titre Chère Laurette, 4 volumes. Tout ce passe dans le quartier.Je crois qu’il avait de la famille pour y avoir écrit un parfais miroir de ce qui se passait ici. C’est vraiment des romans historiques. L’église St-Vincend de Paul est maintenant fermé et une autre ogranisation y habite. J’ai chercher, pour des photos anciennes sur l’église: sur le net, mais sans succès.Si vous connaissez des sites auriez-vous la gentilles de me les faires parvenirs. Merci Jean Claude

  107. Je suis née en 1952, j’ai fait mon primaire à Ste-Brigide (filles), la 8e Année à Gabriel-Souart, 9e à Garneau et ensuite nous sommes déménagés plus au nord de la Ville ( j’avais 13 ans ) . Jusqu’au déménagement nous demeurions au 1269 de Maisonneuve, aujourd’hui Alexandre de Sève, entre Ste-Catherine et la ruelle Ste-Rose et juste en face du docteur Trépanier qui était notre médecin de famille. J’ai cotoyé les familles Levert, Brisebois, Warren, Comtois, Leboeuf, Robitaille, Bissonnette, Sasseville, Cussom, Bouthillier, Desjardins, Lecouf, Rondeau et d’autres que j’oublie. Que de beaux et bons souvenirs !

  108. Bonjour,

    Est-ce qu’il y a des gens qui ont demeuré sur la rue Panet près de l’usine Raymond. Mes grands-parents paternel y habitait (Lafrance).

    Merci

  109. 5 heures du matin
    La bouilloire siffle….

    Madame D.Cloutier j’ai retrouvé enfoui au fond de ma mémoire le nom du docteur qui accouchait ses patientes à domicile, il s’agit du docteur Louis-René Coallier, il est décédé en 2005.

    Je me souviens du laitier il me semble que son nom était monsieur Vincent.

  110. Hé Paul, en plus de Frigo il y avait Carol «ti moté yé yé» «donne-moé 5 cents».
    Moi j’ai marié la fille aînée de Marcel (la police) Roy et de Denise Désilets. On se parle régulièrement du «bout». Je suis tombé par hazard sur cette page. Je vais la faire lire à Marcel et Denise, ça va brasser des souvenirs.
    Quand j’ai lu le commentaire de Louise Leclerc, moi qui a été moniteur au parc Frontenac et au centre de loisirs S.V. de Paul, j’ai eu une bonne pensée pour elle qui est décédée depuis.
    À Richard Dupuis (Bell Canada), un salut spécial, espérant te revoir un jour mon ami.

  111. SALUT je suis née sur la rue archambault au 575 en 1948 quitter en 1972 apres le déces de ma mère comme voisin nous avion la famille roy donc certain sont encore vivant —- racette dcd — legault dcd — edmond martel dcd — eugène brie dcd — famille comptois donc j,aimerait avoir des nouvelles de réjean —- philippe brie vivant — michel régimbalb que j,ai retrouver en 2016 avec l,aide de mon chum normand paquette — dyane gariépy que j,ai retrouver avec l,aide de facebook —- jocelyne et danielle charron retrouver sur facebook — me souviens des léveillé — jacques et yves réal ginette et mariette martel — famille sévigny ou george guitary lui rendait visite a tout les ans —- pour se qui en ai pour le laitier il se nommait pierre paul vincent — me souvient de henri hamel transport donc je pelletait la cour pour c,est camion a tout les hivers lolllll —- de robert dupuis dcd ainsi que son frère michel dcd aussi d,un accident de moto avec comme passager andré charron —- michel marquis que j,aimerait retrouver c,était un de mes amis — famille henripin — langlois — morrisette — langlais — savaria — restaurant lafleur — épicerie quintal — ect ect :::: JACQUESSENECAL@LIVE.CA merci de m,avoir lue et si je peu répondre a vos question n,hésité a mon contacté BYE BYE (y)

  112. Bonjour à vous, chers détenneurs de connaissances précieuses et palpitantes de l’histoire de Montréal, ville unique.

    Hélas, mes souvenirs sont bien récents de cet endroit, car je ne suis née qu’en 1991 . Ceci dit, je voudrais me renseigner à propos de l’ancienne Pharmacie au coin Dufresne/St-Catherine Est. (au 2401, st-Catherine.) Cet immeuble pourrait être sujet à démolition pour créer un immeuble de condo horrifiant, qui ne contribueras sans-doute aucune valeure culturelle au voisinnage…et triste seront nous de voir cet immeuble charmant, ouvert au quartier, disparaitre pour se faire remplacer par un condo dur, moderne, et inacessible aux passants. D’ailleurs, l’église en diagonale c’est fait rénover l’an passé.
    D’après certaines reglementations au Québec, un immeuble qui présente un intérêt pour sa valeur archéologique, architecturale, artistique, emblématique, ethnologique, historique, (etc) pourrais être protégée.

    Quelqu’un pourrais m’aider?

    Croyez vous que cet immeuble, autrefois une pharmacie, pourrais qualifier en tant qu’immeuble de valeur historique? Merci de votre aide!

  113. Bonjour moi c’est lucie boucher,j’ai habité au 567 archambault en 69,70 et 71.j’ai connu les sparrow sur dufresne les comtois les simard qui habitaient je crois en face de nous.j’allais à l’école ste catherine avec ma soeur France. Que de beaux souvenirs Merci de partager Vous pouvez me contactés Boucherlucie@Gmail.

  114. Merci d’avoir réactivé le site.
    Fleurs de printemps, merci pour les précisions. Effectivement, ce quadrilatère n’était pas dans le plan Dozois. Pour répondre à votre question, je ne sais si cela est véridique, mais selon certaines rumeurs, ce quadrilatère a été acheté par un groupe d’hommes d’affaires, incluant un animateur télé très connu de l’époque. Ce quartier devait devenir la Cité de la télévision. Ils ont démoli le quartier mais le projet n’a jamais été réalisé. D’ailleurs, il est extrêmement difficile d’avoir des photos de ce quartier pourtant le coeur d’un des quartiers populaires de Montreal, d’ailleurs dans le livre des quartiers disparus on n’y retrouve aucune photo ou mention de ce quartier. Seuls les livres de Monsieur Michel David nous racontent la véritable histoire de ce quartier.

  115. Diane Grandmaison mon surnom ( ptit cabane ) je suis née 1951 demeure chez ma grand mère a la naissance 1923 rue Fullum de billais la Prison des Femmes et en face ou j’allais acheter mon ptit sac de chips à .01 magasin Chez Ste-Marie . En face de chez ma grand-mère magasin Chez Ma Tante un gros Kik Cola. J’ai été école Ste-Catherine 1ere année et St-Eusebe 2eme et 3ème années . École L’Artigue ma 4eme année .Je me souviens de l’école Meilleur là ou allais les garçons à côté de l’école St-Eusebet que de souvenirs .à côté de chez ma grand mère Antoinette Amesse au 3eme étage la famille Thomas , en bas au coin au 1er famille BOULIANNE au deuxième famille Cadieux Hélène petite amie à 5 ans . Sur le même côté de rue la Caserne de Pompier la ou ma grand – mère a acheter mon 1er bicycle
    À 3 roues .Ensuite 1958 j’ai demeure rue Poupart je crois 1670 2eme maison à côté au 1ere etage famille Brière , ma mère demeurais avec son chum Édouard Boucher qui vendais des billets de hockey, et allais à la petite Taverne rue Ontario entre Fullum et
    Dufresne, il travaillais Mont-Royal Paving (camion de ciment ) .Maintenant je demeure à St- Hyacinthe mon courriel est dibellewezzi26@hotmail.com au plaisir .Diane Grandmaison
    Mon père Edmond Grandmaison ma mère Pierrette Amesse mon frère Pierre
    Grandmaison 2eme lit Richard Boucher née 1958 Lucie Boucher née 1962 .

  116. Bonjour tout le monde, toujours un plaisir de vous retrouvez
    Je reviens après quelques années encore aussi passionnée de mon coin d’enfance
    Je demeurais sur Cartier au 1079 et plus tard au 1056 après le décès de ma mère en 1962
    Encore aujourd’hui à 65 ans, toujours aussi nostalgique de ces beaux et moins beaux souvenirs passés, qui sont si importants pour moi
    SVP…
    Est-ce qu’il y a une personne qui se souvient en quelle année l’école Sainte-Brigide (filles) a été démolie ?
    Elle était située sur la rue Papineau près de Sainte-Catherine

    Merci à l’avance et beaucoup de bonheur à vous tous

  117. Je ne suis pas né dans le Faubourg à la Mélasse ( le Faubourg à m’nasse), mais je trouve l’article méprisant pour les gens qui ont habité ce secteur et je me sens insulté comme si j’avais habité ce lieu-dit .

    Jeannette Bertrand, qui est née dans ce quartier , a raconté à maintes reprises l’origine de cette expression à la télé ,à la radio et dans des écrits.

    A l’époque , le sucre de la canne à sucre arrivait des Antilles par bateau et arrêtait son itinéraire dans le port de Montréal . ( Il n’y avait alors pas la Voie Maritime du Saint- Laurent :les écluses de Saint -Lambert et les autres qui conduisent aux Grands Lacs . )

    Le sucre , une fois arrivé à Montréal , on en transformait une partie pour en faire de la mélasse. ( La mélasse , grosso modo , c’est un peu du sucre qui colle au fond dans une casserole et qui brunit . ) Donc , dans le quartier du métro Frontenac , aujourd’hui, flottait une odeur de mélasse d’où le nom. Le Faubourg à m’nasse, c’est une expression dénigrante pour les gens de ce quartier comme il y en a bien d’autres pour d’autres quartiers dans toutes les villes du monde ( Elle , c’est une fille de l’autr’ bord de la track .) Pourquoi ? Parce qu’il y a toujours des gens qui ont besoin d’en mépriser d’autres pour se rehausser eux-mêmes ( «J’écrase les autres pour me sentir à la hauteur » dit le dicton.)

    Si j’étais né dans le Fauxbourg à la m’nasse , je ferais exprès pour le dire juste pour faire suer ceux qui prétendent péter dans la soie .

  118. Bonjour, ce texte s’adresse surtout à SabourinDesroches.
    Je travaille présentement sur la généalogie de ma cousine qui est une Desroches. Son père, Albert Desroches a grandi dans le faubourg. Y a-t-il des possibilités que vous vous souveniez de cette famille? Je crois qu’il avait seulement un frère qui se nommait Jean Desroches.
    Je ne connais presque rien de cette famille. Merci de m’aider.
    Francine Desrochers
    desrochersf.b@gmail.com

  119. Moi je suis né en 1946 (Bilodeau) et on habitait le 2e et le 3e étage au 1492 Montcalm au coin de DeMontigny; en bas c’était un magasin de musique; j’ai une photo de moi prise devant la vitrine du magasin et c’est écrit HART THE BATTERY YOU CAN TRUST. Il y avait le garage Adéodat Provost; coin nord ouest; sur le coin nord est il y avait un genre de petit resto de patates frites et hot dog qui s’appelait Cloutier. D’ailleurs sa fille Lise vebaut aussi à l’école Garneau. Je me souviens de l’épicerie Gamache je pense que c’était non loin de la rue Amherst ou Wolfe. Il y avait des Comtois et Miller mais je ne me souviens plus de leur prénom; elles venaient aussi à l’école Garneau avec nous deux. La maitresse était Mlle Martineau première année; ma sœur qui était un an plus âgée a fait sa deuxième année à cette même école avec Mlle Vézina. Mon arrière grand-père avait une cordonnerie Lajeunesse sur la rue Logan au coin de Panet si je me souviens bien et ensuite c’est son fils Maurice qui a pris la relève. Je me souviens qu’au retour de l’école, c’était entendu qu’on demandait à un employé du garage pour nous traverser la rue DeMontigny c’était beaucoup trop dangereux.; aussi des soirées passées sur le balcon arrière et ça jasait avec de la famille qui demeurait sur la rue Wolfe (Barrette) de leur prénom Louisette, André; il y avait aussi les Lajeunesse (Lise) qui demeurait sur la rue DeMontigny; dans le même coin il y avait les Garneau (Huguette – Micheline) leur père était livreur de pain pour Durivage. Je me souviens de la Laiterie Poupart, d’ailleurs j’ai un verre de cette laiterie, un verre qu’ils offraient pour un ??? anniversaire de la laiterie; je me souviens aussi qu’on allait chercher un pain chaud et je pense que cette boulangerie dont le pain était livré par des voitures tirées par des chevaux s’appelait justement Boulangerie Painchaud. Je ne me souviens pas exactement sur quelle rue elle était située, mais presque tous les beaux soirs d’été, en prenant une marche en famille, on allait toujours chercher un pain chaud; donc si de jeunes enfants étaient capables de marcher ou pédaler leur tricycle aller/retour pour aller chercher le pain ce n’était pas très loin. Mes grands parents autant maternels (Bonneau) venant de Chicoutimi, depuis environ 1925; que paternels depuis environ 1932 venant de Québec, ont toujours habité dans ces alentours. Moi j’ai habité là de 1946 à 1952, mon père ayant construit une maison à Beloeil qui lui avait coûté environ 8 à 9 mille dollars parce qu’on avait pas un mais trois terrains. (J’ai une photo de Mlle Martineau, maitresse de première année à l’école Garneau)

  120. Bonjour! Je travaille présentement sur un projet de film d’animation. C’est une fiction qui se déroule dans le quartier du début des années 50 jusqu’à l’expropriation et démolition du secteur Radio-Canada en 1963. Je cherche également à rencontrer des anciens résidents pour discuter et recueillir anecdotes et témoignages. Aussi pour la construction de mon décors je recherches des photos du quartiers prises à cette époque et travaille déjà à partir de photos d’archives, dont la majorité proviennent des archives de la ville et du centre d’histoire de Montréal, mais je suis présentement à la recherche de photos provenant de nouvelles sources. Si l’un d’entre vous peut m’aider ce serait fort apprécié! Merci!

    voici mon courriel : yannicrozon@yahoo.ca

  121. En réponse au commentaire de Patricia Martel d’il y a 3 ans, je suis la sœur de Michel Cloutier alors tu peux me rejoindre à mon adresse courriel ginettecloutier1@hotmail.com

    Merci

  122. Je suis né en 1958 j’ai fait mes 3 premières années à l’école marguerite bourgeois sur plessis.en 1969 nous sommes de ménages sur au 567 Archambault.jai finis mon primaire à l’école ste Catherine.mes amies étaient les sparrow de la rue dufresne les Girard les comtois.jai une soeur France qui est plus jeune de 1 an . Mon nom Lucie boucher.je suis très nostalgique.mais ça me fait du bien de partager quelques souvenirs de mon enfance avec vous.quel bon temps on a eu voici mon email si vous voulez échangés. boucherlucie@gmail.com au plaisir.

  123. Je suis née en 1950, sur la rue Craig près de Montcalm. J’ai été baptisé a ST. Pierre Apôtre. J’étais petite, mais, mes frères et ma soeur m’ammenais au parc ”Cambell” je crois. Moi j’ai connue des Martel, des Larosebill …Je suis ensuite déménagé au 2073 rue de la Visitation au nord d’Ontario. Je fréquentais l’école Marguerite Bourgeois. J’ai fais ma confirmation et ma première communion a l’Eglise Sacré coeur. Mes frères allaient a l’école plessis, Richard Forcier et Pierre Forcier.Je me souvient du cinéma sur Ontario près de Plessis, dont le nom m’échappe, le marché St Jacques ou j’allais avec mes parents. Mes grand parents habitaient rue Plessis au sud d’Ontario je pouvais m’y rendre après l’école car c’étais a deux pas de la. Mon grand père Gauthier et ma grand mère Blanchette c’était ma deuxième maison. Ensuite j’ai habité le 2351 rue Fronctenac près de Rouen. Je suis allée a l’école St Eusèbe. J’ai connue des Tessier, Bernaquez, Méthot, Riendeau, Trudeau, Rufiange, Richard Bradette. J’ai adoré mon quartier, j’y retourne souvent faire un tour. Je li présentement ”Chère Laurette” de Michel David j’ai aussi lu ”Poussières du Temps aussi de Michel David.
    Que de beaux souvenirs, malgré la pauvreté. Bain Quintal journée des filles, bain Laviolette font aussi parti de mes souvenirs.

  124. Le coin où j’ai grandit, j’y suis arrivée à l’âge de 6 ans. J’ai fréquenté l’école Ste-Catherine, fait ma 1ère communion à l’église St-Vincent-de-Paul. Plus tard j’ai commencé mon secondaire à Gabriel Suart et l’ai terminé à la polyvalente Pierre-Dupuys. J’ai beaucoup de souvenirs de ce cartier qui est profondément encré au fond de mon coeur.

  125. J’ai habiter au 1878 rue parthenais ,au sud de la rue Ontario de l’age de 6ans a 13 ans et je fréquenais l’école Meilleur, rue Fullum et Rouen. Je me rappelle de la prison des femmes en avant de chez nous, avec une cloture de bois du nord au sud. Je me souviens de Gilles Houle, André Desjardins, les Lachâpelle! Il y avait une immense glaciere en arriere de chez nous pour entreposer la glace et celle-ci se vendait en gros cube de .25 centset 50 cents! J’espere que quelqu’un se reconnaitra d’avoir vécu cette période. Au plaisir d’avoir de vos nouvelles!

  126. Allo tout le monde, je m’appelle Johanne Parent moi j’ai habité sur la rue Lafontaine, sur la rue Plessi en 1969 j’avais 4 ans. J’ai habité de 1971 à 1974 sur la rue Beaudry; j’avais donc 6 ans en 1971, 7 ans en 1972, 8 ans en 1973 et presque 9 ans en 1974. J’ai demeuré au 1950 Beaudry puis au1983 Beaudry. J’ai commencé ma 1ère année à l’école Marguerite Bourgeois, nous sommes déménagé sur Beaudry quelques semaines après le début scolaire et j’ai changé d’école. J’ai donc fait ma 1ère, 2ième et 3ième année scolaire à l’ école garneau situé sur la rue Visitation. Un de mes plus beau souvenir est le projet 80. Les monitrices et moniteurs passaient de maison en maison pour venir nous chercher. Ils sonnaient à notre porte et demamdaient si nous étions là. Alors ls gagne grossisait de 1 à une vingtaine d’enfants….

  127. Bonjour à vous tous,
    J’ai relu avec plaisir tous vos récits pour me rafraîchir la mémoire
    Je suis toujours aussi passionnée de mon ancien cartier…Le Faubourg à m’lasse…
    Je n’ai pas revu mon cartier depuis quelques années, mais, j’y pense encore
    J’aime me souvenir de mon enfance au 1079 ainsi qu’au 1056 de la rue Cartier entre Papineau et Dorion et Dorchester et de la Gauchetière, mon école Ste-Brigide et les amis.
    J’aime encore me souvenir des odeurs, venant des maisons, épiceries, Dominion Rubber, Molson et bien sur du resto …Chez Ginette…en face de chez moi
    Je me souviens aussi des cultivateurs (les Vallée ou Lavallée ?), ils étaient 2 frères, ils demeuraient en face de chez moi, ils passaient dans les rues avec leurs camions plein de légumes frais, ils étaient si gentils ces messieurs
    Je me souviens des livreurs de cube glace avec leurs grosses pinces pour transporter ceux-ci
    Ma grand-mère, qui ne pouvait pas bien se déplacer, aimait se balancer dans sa chaise berçante sur le trottoir, en face de notre porte et nous étions assises sur le perron près d’elle, mes sœurs, mon frère, ainsi que moi-même
    Les voisins étaient assis sur leurs perrons, ou bien, ils étaient dans leurs fenêtres
    Ma grand-mère Mme (Helen Stever Arsenault), aimait son cartier, c’était une femme forte et fière, il n’y avait pas beaucoup maison à logis à son arrivée sur la rue Cartier
    Nous avions comme propriétaire M. Pépin, un grand monsieur, d’une telle gentillesse, il passait ramasser l’argent du loyer
    Nous connaissions tous nos voisins, leurs enfants, leurs habitudes
    Comment peut-on rester si attaché à ces souvenirs, à ce passé si difficile et pauvre ?
    Moi, je crois que c’est parce qu’ils étaient des gens de cœurs, de gens de compassion avec des belles valeurs de vie…que l’on retrouve de moins en moins aujourd’hui
    Ces personnes, ne prenaient rien pour acquis, ils travaillaient très fort pour subvenir aux besoins de leurs familles
    Nos parents et grands-parents, ne regardaient pas quel métier ou quel degré d’éducation que nos voisins avaient, tout le monde se parlait, se côtoyait, il y avait un sentiment de respect, d’appartenance, d’acceptation dans mon quartier
    Je pourrais vous en parler encore et encore…mais je sais ceci, j’ai connu la misère, la pauvreté, mais, je suis devenue une femme qui n’a rien pris pour acquis et j’ai jamais oublié d’où je venais et j’en suis fière, cette période de ma vie, je devais la vivre et j’en suis reconnaissante aujourd’hui

    Le Faubourg à m’lasse a marqué l’histoire, il a une âme, il est immortel
    Il aura toujours sa place dans nos cœurs et pour les générations à venir

    Beaucoup de bonheur à vous tous et soyez heureux

    Et au plaisir de vous lire…

  128. Je parcourais ce forum par curiosite d’en apprendre plus sur le coin d’enfance de ma mère et de toute ma famille en fait. Je crois que l’expropriation de ce coin y laisse encore des blessures…et ce pour beaucoup de gens. Je suis émue de lire que des gens se rappel de ma mère. Sylvie Langlois…j’ai lu plus haut une dame parler des langlois ( Sylvie et Manon). Dans ma famille nous avons les Langlois, Les Morin, Les Boones, Les Martel…et très proche de la famille les Regimbaldes dont Paul à écrit plus haut. Si d’autre connais ma mère, elle serait tellement heureuse de vous revoir. Je vous laisse aussi mon courriel car j’aimerais tellement m’impregner de cette vie de quartier. Ma mère m’a apprit de belle valeur que je suis certaine que vous avez un peu tous par votre parcours. marijlan2010@gmail.com

  129. Je suis arrivé dans le quartier au 589 Fullum en 1953. L’ année suivante, j’ai débuté ma premiėre année scolaire à l’école Champlain dans la classe de Mlle Farley.

    Je me souviens:
    De la Dominion Oilcloth, de son odeur forte qui irritait les yeux.
    Du Parc Bellerive sur la rue Notre-Dame, et tout à côté des réservoirs à mélasse d’Ernest Carriėre
    (Map o Spread ) c’était à cet endroit où l’on équeutait les fraises.
    Des arachides et noix de Lalumière rue Ste-Catherine
    De la pizza aux tomates de la rue Champagne.
    De l’immense réservoir à gaz gris avec le haut carrelé blanc et rouge à côté du parc Frontenac où
    j’allais patiner.
    De l’église St Vincent de Paul et de sa salle paroissiale en dessous et, tout à côté l ‘école
    Sainte -Catherine.
    Du bain Quintal coin Dufresne et Maisonneuve.
    De la « maison blanche » avec son « snack bar » au premier étage, coin sud-est de Morin et
    Fullum.
    De Claude Desilets, coin Morin et Fullum.
    De Roger (Ti Pit) Desroches rue Morin.
    Des enfants qui criaient et jouaient en riant.
    Des portes qui claquaient.
    Des mėres qui appelaient les enfants pour souper.
    Des (popsicles) que l’on se partageait en pyjama le soir assis sur les marches du trottoir avant
    d’aller se coucher.

    Que de merveilleux souvenirs partagés avec vous

    À suivre……….

  130. Je suis arrivé dans le quartier au 589 Fullum en 1953.
    L’année suivante, j’ai débuté ma première année scolaire à l’école Champlain
    dans la classe de Mlle. Farley.

    Je me souviens:
    De la Dominion Oilcloth, de son odeur forte qui irritait les yeux.
    Des compétitions d’hommes forts rue Poupart.
    De la Maison Blanche « grise » avec le « snack bar » au premier étage coin sud est
    de Morin et Ffullum.
    De Claude Désilets qui habitait, coin Morin et Fullum.
    De Roger »Ti-Pit » Desroches rue Morin.
    Des enfants qui criaient et jouaient en riant.
    Des portes qui claquaient.
    Des mères qui appelaient les enfants pour souper.
    Des « popsicles » que l’on partageait en pyjama le soir assis sur les marches du
    trottoir avant d’aller se coucher.
    Du Parc Bellerive sur la rue Notre Dame,des réservoirs à mélasse d’Ernest Carriére
    « Map-O-Spread » c’était à cet endroit où l’on équeutait les fraises.
    Des arachides et noix de Lalumière rue Ste-Catherine.
    De la pizza aux tomates de la rue Champagne.
    De l’immense réservoir à gaz gris avec le haut carrelé blanc et rouge à côté du
    Parc Frontenac où j’allais patiner.
    De l’église St-Vincent de Paul et de sa salle paroissiale en dessous et à côté l’école
    Ste-Catherine.
    Du bain Quintal coin Dufresne et Maisonneuve.

    Que de merveilleux souvenirs partagés avec vous tous.

    A suivre…….

  131. À Joyce Roy, si vous repassez ici.

    L’école a été démolie 1972-1973 je crois. Nous venions d’emménager au 1221 Cartier et je regardais le nouvel immeuble se construire sur le même terrain. Mes premières 13 années je les avaient vécus au 1091 Cartier. Votre voisin donc.

  132. Je n`ai jamais habiter Montréal, j`habite le village de Béarn au Témiscamingue, qui, à l`époque était appeler« Le fort à mélasse». L`histoire vient du fait que la mélasse arrivait par train et lorsqu`ils déchargeaient les tonneaux, ils étaient empilés sur le quai qui prenait l`allure d`un fort. La mélasse reste encore un de mes dessert préféré!

  133. Née en 1962, vécu sur rue Dufresne coin Lafontaine. École Ste Catherine puis école Champlain. Nous avons habité au 2327, Logan jusqu’à mes onze ans. Par la suite, mes parents ont acheté une maison à Laval. Vos commentaires me font revivre de bons souvenirs. À l’époque, mes frères Mario, José, Martin ont tous fréquenté Champlain et toutes les patinoires d’hockey. 😊 Belles années de notre enfance !! Ma grand mère Madeleine Alarie Beauchamp y a habité longtemps aussi, sur Dufresne puis Lafontaine et au HLM près du métro Frontenac jusqu’à son décès.

  134. bonne journee tout le monde

  135. Recherche une amie ou connaissance de Lucille Adami.

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